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Sur un autre registre, parlant de la disparition du joueur du Raja Zakaria Zérouali avec beaucoup d’affliction d’ailleurs, Hifti a jugé pertinent le fait de recourir à une enquête et une expertise pour mettre au clair les circonstances de sa mort.
Il a ajouté : « Personnellement je ne peux rien avancer à ce sujet, mais suite à des discussions que j’ai eues avec quelques-uns de ses coéquipiers, il paraît que Zakaria n’était pas en bonne forme depuis une quinzaine de jours, depuis le match contre le MAS probablement aux dires toujours de ses amis, qu’il souffrait de nausées, de fièvre inquiétante, qu’il a été admis une première fois dans une structure hospitalière qu’il a quitte peu temps après pour être encore une fois hospitalisé. Tout cela nécessite une enquête et que chaque partie assume sa responsabilité, la Fédération, le Raja et pourquoi pas la justice.
Car en fait, ce n’est pas un cas de mort subite qui peut avoir lieu sur n’importe quel terrain de sport; le joueur a souffert pendant quinze jours, et si on parle aujourd’hui de cette manière, c’est pour éviter que d’autres joueurs soient victimes de cas pareils.
Normalement, quand une équipe regagne le pays après un match en Afrique, le cas de chaque joueur qui souffre de fièvre doit être pris au sérieux, car en réalité, on ne peut pas se cacher derrière des diagnostics d’élimination.
En général, les équipes doivent suivre avec beaucoup de sérieux l’état de santé de leurs joueurs, vérifier si leurs vaccins sont à jour…Les médecins des clubs doivent aussi jouer leur rôle pour que cela ne se reproduise plus. On ne peut pas nier que ce domaine a connu un élan considérable dans notre pays, on parle aujourd’hui de la couverture sociale qui n’existait pas avant, on parle de beaucoup de bonnes choses heureusement, mais il faut assumer dans le cas échéant. »