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Secteur extractif : Hausse de l'indice de production de 26,6% à fin septembre
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Aéronautique : 2024, l'année du retour en force
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Le secteur des assurances continue de démontrer sa solidité et sa résilience
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Energie électrique: Hausse de 2,3% de la production en 2023
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Port de Larache: Hausse de 7% des débarquements de pêche à fin novembre (ONP)
Ledit communiqué ajoute que «cette approche aura des impacts socio-économiques catastrophiques sur une industrie pharmaceutique marocaine déjà fragilisée malgré une existence de 60 ans au service de la santé des Marocains».
Les industriels préviennent enfin que cette décision «mettra en péril les investissements présents et futurs économiquement importants pour notre pays, la pérennité du secteur, la création d’emplois ainsi que le développement de l’export».
Du côté du ministre de la Santé, Houcine El Ouardi, il est à rappeler que ce dernier avait reconnu la cherté des médicaments au Maroc. Par le présent décret, le ministre vise l’alignement des prix des médicaments distribués au Maroc sur ceux pratiqués dans des pays à économie similaire.
Cet objectif figure en tête des objectifs de la politique du médicament, avait affirmé El Ouardi lors d’une rencontre organisée à Casablanca sur «l’accès au traitement et aux médicaments et les défis du changement». Il avait insisté sur la révision de la loi sur les médicaments, qui date de 1969, en soulignant que des études montrent que les prix des médicaments sont chers au Maroc en comparaison avec des pays à économie similaire.