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En effet, à sa naissance, en août 1978 au Maroc, les médecins détectent très rapidement chez lui une bronchiolite très aiguë. "J’avais beaucoup de mal à respirer et un asthme très prononcé", explique Booder à l'animateur de TF1, qui lui aussi a vécu un événement marquant à sa naissance.
Depuis le Jamel Comedy Club, là où il a commencé sa carrière, l’humoriste s'est confié à Nikos Aliagas : "Dans ce villagelà, on ne connaissait pas ce genre de maladie." Au vue de la situation et du manque de moyen, le médecin a annoncé la pire des nouvelles à une maman : "Cet enfant ne passera pas l'hiver." Malgré la négativité de cette annonce, les parents de Booder se ne laissent pas abattre, notamment son père. "Mon papa était en France. Il travaillait ici et ma maman lui a fait part des inquiétudes du docteur. Mon père a dit 'non cet enfant va vivre, je vais vous ramener en France.
' Je suis arrivé avec ma maman à l'hôpital Necker. Voir ma maman heureuse de voir son enfant vivre, ça a été pour moi mon chargeur." L’enfant a ainsi pu être sauvé. Toute sa vie, Booder, qui a failli devenir un grand joueur du Paris Saint-Germain, garde en lui cette épreuve et reste admiratif de la force de ses parents.
"Pour moi, ce sont mes héros", a-t-il affirmé devant Nikos Aliagas. Aujourd’hui, Booder se dit heureux d’avoir reçu une "éducation parfaite" qui inclut "le respect des gens, la tolérance et le vivre-ensemble". Pour rappel, Booder s'est toujours exprimé sans peur ni tabou, allant même jusqu'à se moquer librement de son apparence. L'humoriste poursuit actuellement sa tournée des théâtres.