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Pour s’en sortir, Jay Z ne cache pas qu’il a vendu de la drogue dans les rues de Brooklyn, sans pour autant en consommer : 'Il n'y avait pas un endroit où le crack n'était pas là. Vous alliez dans le hall d'entrée, il y avait des toxicos qui traînaient. Dans la rue aussi, il y avait des ampoules de crack partout par terre. Et cette odeur putride se faisait sentir dans tous les coins. Quand j'y pense, elle me revient très facilement (…) Je pensais uniquement à ma survie, je pensais juste à améliorer ma situation, j'avais juste envie de m'acheter des fringues'.
Cette interview, c’est surtout l’occasion pour le rappeur d’évoquer sa plus grande fierté, à savoir sa fille Blue Ivy, qui est également sa plus grande fan : 'Quand mon album est sorti, on l'a mis à la maison, ce que je ne fais pas d'habitude. Mais Blue a adoré toutes les chansons. À chaque fois qu'elle en met une, à la fin elle dit 'encore papa, encore'. C'est ma plus grande fan. Si mon album ne s'était pas vendu, le fait qu'elle l'adore à ce point me procure la plus grande joie. Et ce n'est pas cliché, je suis vraiment sérieux'.