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A Essaouira, à l’instar d’autres villes du Royaume, plusieurs chantiers de construction squattent abusivement l’espace public, et représentent de vrais dangers en utilisant des engins et matériaux de construction.
Dernier exemple en date, le chantier de construction du nouveau bâtiment de l’Administration des impôts au Quartier administratif. Le chantier a « avalé » presque la moitié de la chaussée tout en occupant illégalement le trottoir d’en face pour déposer et préparer le mortier et autres matériaux au vu et au su de tout le monde. Autre fait regrettable dont «Libé» a été témoin : les ouvriers ont percé la chaussée, récemment réaménagée, pour fixer la clôture du chantier sans que personne ne bouge le petit doigt. Un acte intolérable qui a causé la dégradation de la chaussée.
L’autre cas toléré pendant plusieurs mois concerne le chantier de construction d’un hôtel en face de la corniche. Une grue a opéré pendant des mois au-dessus des têtes des usagers de la route sans que personne ne s’en émeuve, ni proteste contre cette situation qui aurait facilement pu engendrer de graves accidents.
Les exemples ne manquent pas au niveau des chantiers situés en face de la ceinture verte au quartier Tafoukt et ailleurs. Les matériaux de construction déposés n’importe où et n’importe comment occupent tout le trottoir et débordent sur la route de manière irresponsable et dangereuse.