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Le résultat, il l’a couché dans un livre au titre évocateur: Ce que je ne pouvais pas dire (qui paraît le 21 avril chez Robert Laffont). Et parmi les personnalités politiques que Jean-Louis Debré a dans sa ligne de mire, outre François Fillon qu'il surnomme "monsieur pipi", on retrouve Rachida Dati. Comme on l’apprend dans Le Point cette semaine qui publie quelques extraits, l’ancien président de l’Assemblée Nationale ne porte pas la maire du VIIe arrondissement dans son cœur. Il dresse un portrait d’elle au vitriol en revenant sur un voyage qui s’est déroulé en 2008 à Doha. A l’époque, Rachida Dati était Garde des Sceaux et participait à ce titre à un colloque sur la justice. Et là, celle qui était déjà réputée pour ses caprices et l’objet de nombreuses critiques a eu un comportement qui a fortement déplu à Jean-Louis Debré. «Elle se conduit comme une petite fille gâtée, écrit-il dans son livre, exige un coiffeur à 11H du soir, traite l'ambassadeur comme son valet, est en retard au déjeuner officiel. Bref, la ministre de la Justice l’agace au plus haut point. Il ajoute: «Je suis obligé de demander à nos hôtes de commencer sans elle tant j'ai honte de son comportement».