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Confusion. Un journaliste ghanéen a provoqué l’hilarité générale en conférence de presse en interrogeant le sélectionneur des “Black Stars” Avram Grant, samedi à Malabo. Voulant savoir ce que pensait le technicien israélien de son homologue guinéen, il a confondu Michel Dussuyer avec Alain Giresse, sélectionneur du Sénégal dont le contrat a pris fin après l’élimination des “Lions de la Teranga” au 1er tour. “Tout le monde peut faire des erreurs”, a ironisé Grant.
Second couteau. Le Ghana a fait fort samedi en conviant le gardien N.2 Fatau Daouda à la conférence de presse précédant son quart de finale. Peu habitué à l’exercice, le portier du Ashanti Gold Cup ne s’est pas trop épanché, répondant invariablement par des phrases extrêmement courtes, débutées et terminées par “Thank you”, tel un débutant.
Pas de cadeau. L’attaquant de la Guinée Ibrahima Traoré est proche de certains joueurs ghanéens. Mais il l’a juré samedi, il n’y aura pas de quartier lors du quart de finale de la CAN entre les deux équipes. “Sur le terrain, il n’y a pas de frères. Même si je devais avoir mon propre frère en face de moi, je le taclerais. Il n’y aura pas d’amitié qui tienne sur le terrain”.
Obscénité. Ibrahima Troaré, encore lui, s’est fait tancer, avec le sourire, par la chef de presse de la CAF, samedi en conférence de presse, après avoir sonné la mobilisation générale avant le quart de finale avec une formule un peu crue. “On est la Guinée, un petit pays mais on n’est pas des victimes et on doit être tous ensemble, a déclaré Traoré. Et je le dis aux journalistes, on doit être uni et ne pas écrire n’importe quoi sur le coach, sur l’équipe. Demain est un grand jour pour toute la Guinée et ils doivent arrêter d’écrire de la me… sur nous”. L’officielle de la CAF, telle une maîtresse tançant un élève, l’a averti qu’il pouvait être passible d’une amende.
Dissuasion. Le dispositif de sécurité est encore monté d’un cran au stade de Bata pour les deux quarts de finale Congo-RD Congo et Tunisie-Guinée Equatoriale. Des militaires venus d’Angola et du Zimbabwe montaient la garde, lourdement armés: kalashnikov, mitraillette, etc.
Sifflets. “S’il vous plaît, nous demandons au public d’arrêter de siffler, cela peut perturber l’arbitre”. C’est l’annonce faite par le speaker du stade de Bata à la 24e minute du quart de finale entre les deux Congo.