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Les agents de sécurité du secteur de l’enseignement battent le pavé à Essaouira Abdelali Khallad
Mardi 25 Février 2014
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Les agents de sécurité du secteur de l’enseignement ont décidé de hausser le ton à l’égard de leur employeur après un marathon, malheureusement, stérile, de dialogue et d’attentes bafouées. Vendredi 21 février 2014, ils étaient plusieurs dizaines à battre le pavé devant le siège de la délégation du ministère de l’Education nationale à Essaouira. Les protestataires ont scandé des slogans contre la stratégie de la sourde oreille, la dépravation, et le mutisme des administrations de tutelle qui n’ont pas levé le petit doigt pour satisfaire le minimum de leurs revendications légitimes. D’après un communiqué diffusé à l’occasion, le Syndicat des agents de sécurité affilié à l’UMT, et après avoir recouru à toutes voies légales pour concrétiser ses revendications légitimes, a décidé d’entamer une grève ouverte dans tous les établissements scolaires à partir du 17 février 2014, l’organisation d’un sit-in devant le siège de la délégation du MEN, tout en imputant la responsabilité de ce dossier à l’employeur d‘une part, et au ministre de l’Education nationale qui est impliqué dans la mauvaise gestion des ressources humaines ainsi que des marchés publics passés, d’autre part. Les protestataires réclament, entre autres, le règlement des arriérés de leurs salaires, la remise du bulletin de paie à la fin de chaque mois, le respect des congés annuels, et l’octroi d’une carte professionnelle. Le dossier des agents de sécurité et des femmes de ménage du secteur de l’enseignement n’a pas cessé de susciter débats et indignation depuis l’année dernière. Ils sont plusieurs dizaines d’employés de deux sociétés chargées de la gestion du service de sécurité et de nettoyage qui traînent des problèmes financiers et sociaux dus essentiellement au non-respect des clauses du cahier des charges par les employeurs. Les agents de sécurité n’étaient pas les seuls à protester devant le siège de la délégation du MEN, car il y a toujours les professeurs contractuels qui, depuis plusieurs mois, demandent toujours le renouvellement et la révision des contrats administratifs les liant au MEN.
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