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Avant le scrutin, 65 des 290 sièges du Majlis, le Parlement iranien, restaient à pourvoir à l'issue du premier tour qui avait déjà vu, le 2 mars, une large victoire des différentes factions conservatrices qui se partagent le pouvoir en Iran.
Les réformateurs, qui ont largement boycotté le scrutin pour protester contre la répression dont ils ont été victimes après la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad en juin 2009, n'ont obtenu que deux sièges au second tour, selon un décompte de l'agence Fars.
Ils n'ont plus que 21 sièges dans le nouveau Majlis, contre 60 dans l'Assemblée sortante. Les deux principales alliances conservatrices en compétition, le "Front uni des conservateurs" (opposés au président Ahmadinejad) et le "Front de la persistance de la révolution islamique" (plutôt favorable au président), ont emporté 44 sièges au second tour, selon Fars.