-
Une mesure "excessive", pour l'avocat de sa fille Anouchka
-
Le prince Harry arrivé trop tard pour dire adieu à Elisabeth II : La triste raison de son retard
-
Blessé dans un accident de moto, l'acteur Mathieu Kassovitz s'exprime pour la première fois
-
Erling Haaland accro à une pratique controversée comme d'autres stars du sport
Laurent Ruquier et Léa Salamé avaient reçu Jean-Luc Mélenchon en octobre dernier sur le plateau d'On est en direct, diffusé sur France 2. Lors de l'interview, la journaliste avait affirmé, sans preuve à l'appui, face au candidat à l'élection présidentielle de la France Insoumise qu'"il y a des quartiers où les islamistes ont pris le pouvoir aujourd'hui en France". L'affirmation avait été réfutée par Jean-Luc Mélenchon. Léa Salamé avait alors conclu l'échange par un "Si vous le dites..."
Suite à ces propos, le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) avait été saisi à sept reprises. Trois de ses saisines estimaient que le ton de Léa Salamé était "irrespectueux" et "agressif". Le CDJM vient de rendre sa décision, comme le rapporte Télé 7 jours, ce jeudi 3 février. Si le CDJM a estimé que "les journalistes sont libres du ton et du style qu'ils adoptent, choix qui relève de l'éditorial, même si on peut déplorer qu'il varie en fonction des interlocuteurs", il a également déclaré que la teneur des saisines était "partiellement fondée".
Léa Salamé aurait "pris à son compte une affirmation, sans l'appuyer par des faits"
Pour le CDJM, certaines règles de déontologie qui régissent la profession de journaliste n'auraient pas été respectées.