-
Interpellation à Marrakech d'un individu soupçonné d'évasion au cours d'une garde à vue, de trafic de psychotropes et de vol
-
Karima Rhanem, une voix puissante pour la jeunesse et les femmes africaines
-
Installation de nouveaux magistrats au tribunal de première instance de Tata
-
"2045": Le jeu de société qui simule une invasion chinoise de Taïwan

Organisée en collaboration avec l'AOMF, cette session dont les travaux ont été présidés par le médiateur du Royaume, Abdelaziz Benzakour, a connu la participation de cadres et responsables des institutions des médiateurs et ombudsmans de plusieurs pays francophones, indique cette institution.
Il s'agit de la Tunisie, du Burkina Faso, de la Guinée, du Sénégal, de Madagascar, du Tchad, du Bénin, de la Côte d'Ivoire, de l'Albanie et du Maroc, en plus des représentants de l'Instance centrale de prévention de la corruption et de l'Institut supérieur de commerce et d'administration des entreprises (ISCAE).
Cette session a été l'occasion de procéder à un échange d'expériences et de bonnes pratiques sur le rôle des médiateurs dans la simplification des procédures administratives et l'accès aux services publics, à travers le diagnostic des plaintes qu'ils reçoivent ainsi que leurs interventions dans les différentes administrations concernées, en particulier leurs recommandations en vue d'améliorer les relations entre les services publics et les bénéficiaires de leurs prestations, nationaux ou étrangers, souligne le communiqué.
Selon la même source, les travaux de cette session ont été encadrés par un groupe d'experts du Bénin, de Belgique, de France et d'Albanie, ainsi que deux experts de l'Institution du médiateur du Royaume et un autre du ministère de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration au Maroc.