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Le quotidien algérien « Jaridati » a révélé qu’Abdelaziz Bouteflika aurait profité de son long séjour en France pour négocier l’enterrement de plusieurs « secrets », dont des dossiers de corruption.
Pour ce journal, le président algérien a été hospitalisé pendant trois mois en France, et il a sûrement rencontré des personnalités françaises avec lesquelles « il a négocié pour enterrer tout ce qui a rapport avec sa maladie et l’affaire de Sonatrach. La France a des intérêts en Algérie, et le régime actuel a pormis à la France de les préserver ».
Le quotidien algérien a confirmé que la manière avec laquelle les autorités algériennes ont traité la maladie du président algérien laisse sceptique surtout le black-out médiatique qui a marqué le séjour de Bouteflika en France. Mais ce qui a attiré l’attention de ce journal, c’est que «la France et la presse française ont éludé » les affaires de corruption de Sonatrach dans lesquelles est impliqué un proche du président algérien, en l’occurrence Chakib Khalil, ancien ministre de l’Energie et des Mines.
La même source ajoute que le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, est lui aussi impliqué dans une affaire de corruption concernant cette fois-ci le projet de l’autoroute est-ouest, et l’affaire de l’Agence nationale d’édition et de la publicité, et autre affaires de corruption. Selon ce journal, « l’actuel régime est submergé par les affaires de corruption. Cette situation l’affaiblit de plus en plus, ce qui le contraint à collaborer avec l’extérieur pour survivre. Ce régime puise sa légitimité de l’extérieur et non pas de l’intérieur ».
Ces affaires de corruption dans ce pays pétrolier ont «démobilisé tous les Algériens, y compris nos enfants qui nous demandent pourquoi étudier alors que tout le monde s'enrichit autrement? C'est grave!», assure l'expert économique Abderrahmane Mebtoul, au journal algérien « L’Expression ». Et d’ajouter: «La moralisation de la vie doit être rétablie, après l'immobilité qui a atteint le sommet de l'Etat tombé en décadence».
D’un autre côté, les exportations algériennes ont baissé de 7% au niveau des recettes des hydrocarbures, qui se sont chiffrées à 40,18 Mds de dollars au cours des sept premiers mois de 2013, représentant plus de 96% des ventes globales du pays à l'étranger, selon les chiffres publiés par le Centre national de l'informatique et des statistiques des douanes (CNIS), tandis que les importations qui tendent à exploser «se sont maintenues en hausse jusqu'à juillet, atteignant 15,79% à 33,04 Mds de dollars comparées à la même période de l'année dernière, ce qui s'est soldé par une perte de moitié des recettes en devises.