Des peines de prison pour empêcher les fraudes électorales
-
Ouverture à Jeddah de la réunion extraordinaire de l'OCI avec la participation du Maroc
-
Pourquoi chérit-on les palmiers au détriment des arbres ?
-
Tsunami. On en parle et reparle
-
Sa Majesté le Roi félicite le président ivoirien à l'occasion de la fête nationale de son pays
-
Manuel Navarrete : La coopération sécuritaire entre le Maroc et l’Espagne est très bonne et constante
Les conditions d’éligibilité ont également changé. C’est le cas de l’âge de la majorité fixé à 18 ans au lieu de 23 ans pour se conformer à la nouvelle Constitution.
Les fraudes électorales seront, par ailleurs, sanctionnées d’un à cinq ans de prison ferme et d’une amende allant de 10.000 à 100.000 DH.
Cela dit, ledit projet est loin de faire l’unanimité. Plusieurs responsables politiques estiment, en effet, qu’il comporte quelques lacunes et qu’il pourrait faire l’objet d’une lutte d’autant plus acharnée que certaines parties nostalgiques de quelques viles pratiques du passé tenteront tout pour contrecarrer le processus de réformes en cours.