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J-Lo se souvient avoir reçu de nombreuses critiques : « Au début de ma carrière, je me sentais vraiment mal à l’aise (…). J’assurais et j’entendais les gens dire : ‘’Elle ne sait pas chanter, elle ne sait pas danser, elle ne sait pas jouer la comédie.. J’ai commencé à douter et à penser : ‘’Oui, ils ont raison’’. Et cela m’a fait très mal pendant pas mal de temps ».
Mais Jennifer Lopez s’est battue pour atteindre son objectif et surtout pour réaliser ses rêves. « Je ne pouvais pas me permettre de laisser cela définir qui j’étais. Je me suis alors dit que j’allais sortir un autre album, faire une autre chanson, faire un autre film (…). Et je l’ai fait. Et j’ai continué à le faire. J’ai travaillé plus dur que tout le monde. J’ai commencé à croire en moi-même », raconte-t-elle.
Pourtant, si elle n’avait pas percé dans l’industrie musicale ou dans le cinéma, J-Lo aurait fini employée au guichet de la banque située juste au bout de sa rue dans le Bronx, tout comme y travaillait déjà une de ses tantes. Un avenir tout tracé qui ne la faisait pas tant rêver que ça : « Citibank était juste en bas de chez moi et je me suis dit que, peut-être, j’irai travailler dans cette banque. Quand j’étais à l’école, j’y pensais tout le temps (…), comme si le Bronx allait être toute ma vie ».