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La représentante d'ONU Femmes au Maroc, Myriem Ouchen Noussairi, a souligné l'importance du cinéma en tant qu'outil efficace de sensibilisation et de rupture du silence qui entoure les violences faites aux femmes.
Dans une déclaration à la MAP, en marge de la troisième édition de la Semaine du film pour les droits des femmes à Rabat (25-30 novembre), Mme Ouchen Noussairi a mis en avant le rôle du cinéma pour inciter la société à prendre conscience de l'importance "d'agir efficacement face aux violences faites aux femmes".
"Le cinéma n'est pas seulement le reflet de la société et un moyen de divertissement, mais c'est aussi un outil pour briser le silence, notamment parmi les femmes qui n'ont pas la possibilité de s'exprimer", a-t-elle argué.
L’événement, qui prévoit la programmation d'une série de films au Cinéma La Renaissance de Rabat, a connu la projection mardi du film "Il reste encore demain" de la réalisatrice italienne, Paola Cortellesi.
Les événements du film tournent autour de la tentative de Delia d'échapper à la violence et à l'autoritarisme de son mari, à la recherche d'un avenir meilleur pour elle-même et les autres, durant la fin de la Seconde Guerre mondiale en Italie.
De même, une série de films et de documentaires représentant diverses écoles internationales sera également projetée, traitant de thématiques axées notamment sur les questions d'égalité, tout en encourageant le dialogue et la réflexion sur les défis auxquels les femmes sont actuellement confrontées.
Il s'agit, entre autres, du film "Inchallah, un fils" du réalisateur Amjad Al Rasheed, "Women Speak" de la réalisatrice Sarah Polley, "Filles d'Olfa" du réalisateur Kawthar Ben Haniyeh et du documentaire "Unsilenced"", produit par ONU Femmes, en plus du film "Sisterhood" de la réalisatrice Nora El Hourch.
Cette manifestation est organisée dans le cadre de la campagne des "16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre" d'ONU Femmes Maroc, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, et avec le soutien de la Fondation Hiba et de l'Association des Rencontres méditerranéennes du cinéma et droits de l'Homme (ARMCDH).
Dans une déclaration à la MAP, en marge de la troisième édition de la Semaine du film pour les droits des femmes à Rabat (25-30 novembre), Mme Ouchen Noussairi a mis en avant le rôle du cinéma pour inciter la société à prendre conscience de l'importance "d'agir efficacement face aux violences faites aux femmes".
"Le cinéma n'est pas seulement le reflet de la société et un moyen de divertissement, mais c'est aussi un outil pour briser le silence, notamment parmi les femmes qui n'ont pas la possibilité de s'exprimer", a-t-elle argué.
L’événement, qui prévoit la programmation d'une série de films au Cinéma La Renaissance de Rabat, a connu la projection mardi du film "Il reste encore demain" de la réalisatrice italienne, Paola Cortellesi.
Les événements du film tournent autour de la tentative de Delia d'échapper à la violence et à l'autoritarisme de son mari, à la recherche d'un avenir meilleur pour elle-même et les autres, durant la fin de la Seconde Guerre mondiale en Italie.
De même, une série de films et de documentaires représentant diverses écoles internationales sera également projetée, traitant de thématiques axées notamment sur les questions d'égalité, tout en encourageant le dialogue et la réflexion sur les défis auxquels les femmes sont actuellement confrontées.
Il s'agit, entre autres, du film "Inchallah, un fils" du réalisateur Amjad Al Rasheed, "Women Speak" de la réalisatrice Sarah Polley, "Filles d'Olfa" du réalisateur Kawthar Ben Haniyeh et du documentaire "Unsilenced"", produit par ONU Femmes, en plus du film "Sisterhood" de la réalisatrice Nora El Hourch.
Cette manifestation est organisée dans le cadre de la campagne des "16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre" d'ONU Femmes Maroc, en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, et avec le soutien de la Fondation Hiba et de l'Association des Rencontres méditerranéennes du cinéma et droits de l'Homme (ARMCDH).