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En tout cas, le torchon qui brûle depuis belle lurette entre le patron du club et ses contestataires n’est pas près de s’éteindre. Chaque partie campe sur ses positions et fait endosser à l’autre l’entière responsabilité de la crise de résultats que traverse actuellement un Wydad hors course en championnat et mal en point en compétition africaine. Pour les Winners, qui avaient manifesté leur ras-le-bol en boycottant le derby, le salut passe par le départ d’Abdelilah El Akram et du comité dirigeant. Pour eux, c’est une condition qui n’accepte aucune négociation. Quant à M.El Akram, il n’a pas manqué de tonner qu’il est là par amour du club. Et de surenchérir qu’il ne quittera la présidence qu’une fois assuré que le club est entre de bonnes mains.
Cela promet de sacrés tiraillements entre les principaux antagonistes de ce désolant navet, au moment où les pots cassés sont payés cash par le WAC.
Un Wydad qui devra affronter, ce dimanche à 20 heures au Complexe sportif Mohammed V à Casablanca, l’équipe mozambicaine de Liga Muçulmana pour le compte du match retour des huitièmes de finale de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF). Un cap qui n’est pas franchi d’avance, sachant que les Rouges ont deux buts de retard à remonter et doivent faire sans la charnière centrale qui a joué le dernier derby, à savoir Rami et Allioui.
Au staff technique, bien loin lui aussi d’être dans de bonnes dispositions, pour remédier à tous ces problèmes et de mener le club à bon port. A commencer par cette confrontation dominicale susceptible de calmer les esprits en cas de qualification au tour suivant de la Coupe de la CAF, épreuve qui manque encore au copieux palmarès des Rouge et Blanc.