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Dans un communiqué de presse, le SPNOM a également tiré la sonnette d’alarme sur « la prolifération anarchique des caravanes médicales durant lesquelles l’on vend des lunettes en violation flagrante du principe de la gratuité sur lequel repose le bénévolat qui cible les groupes vulnérables et nécessiteux ». Et d’ajouter : « Nous condamnons également fermement le lancement de campagnes publicitaires par certaines parties pour les dispositifs médicaux en violation claire de la loi relative aux dispositifs médicaux n°84-12 ».
« Nous tenons le ministère chargé de la formation professionnelle pour responsable de l'absence de contrôle strict de certains établissements privés de formation professionnelle, et nous tenons également le ministère de la Santé pour responsable de l'absence inquiétante de contrôle et du manque de coordination avec le secteur de la formation professionnelle pour réglementer et surveiller l’enseignement de l’optométrie », a martelé le SPNOM.
La même source a rappelé que le SPNOM a élaboré tout un programme de contestation et de sensibilisation pour défendre le secteur des opticiens, en plaidant pour le rôle important que joue la profession dans le domaine de la sécurité sanitaire des Marocains.
Et la même source de conclure : « Nous sommes déterminés à dénoncer et à faire face aux personnes impliquées dans la falsification des diplômes et à lutter contre la commercialisation illégale des dispositifs médicaux, et nous continuerons à alerter sur les dangers du nombre élevé de diplômés dans les établissements de formation professionnelle dans le domaine de l'optométrie, ce qui viole la loi 00.13, qui appelle à un équilibre entre l'offre et la demande pour protéger le secteur des opticiens au Maroc ».
H.T