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Interrogé sur une éventuelle prise de contact du procureur général suisse Michael Lauber depuis l'ouverture de l'enquête en mai, presque cinq mois auparavant, Nasser Al-Khater, secrétaire général assistant du comité d'organisation, a répondu "non".
Khater, qui s'adressait à des journalistes à Doha, n'a pas voulu faire d'autre commentaire, ajoutant que le pays poursuivait sa préparation à sept ans de l'échéance.
La justice suisse enquête sur les conditions d'attribution du Mondial-2018 à la Russie et du Mondial-2022 au Qatar, qu'elle soupçonne entachées d'irrégularités. Lors d'un point sur l'enquête helvète, le 14 septembre à Zurich, Michael Lauber avait estimé que celle-ci "était encore loin de la mi-temps".
Ces investigations se déroulent en parallèle à l'enquête de la justice américaine qui, elle, s'intéresse à l'ensemble des faits de corruption présumée au sein de la Fifa. Selon l'acte d'accusation, près de 150 millions de dollars de pots-de-vin et de rétrocommissions auraient circulé dans les hautes sphères du football depuis 25 ans.
Le scandale a connu un coup de théâtre le 27 mai avec l'interpellation à Zurich, à la demande de la justice américaine, de sept hauts responsables du football, deux jours avant la réélection de Sepp Blatter pour un 5e mandat à la tête de la Fifa. Interrogé sur les réformes nécessaires au sein de l'organe gérant du football mondial, Khater a répondu que le Qatar souhaitait une Fifa "forte et transparente".