-
Les bidasses d'Alger accouchent d'une ânerie de trop: Le visa pour tout Marocain désireux de se gargariser de "l'Eldorado" algérien
-
Partenariat Maroc-ONUCT. Un engagement continu pour la sécurité et la stabilité en Afrique
-
Le PM palestinien salue les efforts soutenus de Sa Majesté le Roi en faveur de la cause palestinienne
-
Mise en avant à New York de la vision de SM le Roi pour le développement de la coopération Sud-Sud
-
Le CSEFRS publie son rapport annuel au titre de l'année 2023
La même source rappelle que les principales puissances de l’Amérique du Sud comme le Brésil, l’Argentine et le Chili ne reconnaissent pas cette entité fantoche.
« La position officielle du Brésil a été prise le 30 avril 2015 durant la réunion de la Commission des relations extérieures du Congrès, en présence de trois députés ayant relation avec les séparatistes et l’ambassadeur algérien. Au nom de l’Exécutif brésilien, la diplomate María Luisa Escorel de Moraes, chef de la Division Paix et Sécurité au sein du ministère des Relations extérieures, a lu un texte par lequel le Brésil a réitéré sa position de ne pas reconnaître l’existence du fantomatique Etat sahraoui, car la solution de la question du Sahara doit être recherchée par l’entente mutuelle des deux parties», a rappelé l’article de «DiariosigloXXI».
« La position ferme du Chili au sujet de l’affaire du Sahara est également emblématique. C’est une référence pour tout le continent. Le Chili ne reconnaît pas comme «Etats» des mouvements. L’ambassadeur du Maroc dans ce pays, Abdelkader Chaoui, intellectuel renommé, critique littéraire reconnu et militant des droits de l’Homme, avait résisté avec détermination aux manœuvres du lobby algérien», a précisé l’auteur de l’article, Luis Agüero Wagner.
La même source a aussi affirmé que le ministre chilien des Affaires étrangères, Alfredo Moreno Charme, avait précisé devant le Parlement en mars 2011 que pour qu’un Etat soit reconnu, il est nécessaire qu’il réunisse certaines conditions telles que le contrôle effectif sur le territoire et la population et un gouvernement indépendant ; des conditions qui n’existent pas dans le cas de la pseudo RASD. C’est pour cette raison que le Chili ne la reconnaît pas.
L’article a rappelé que le gouvernement du Paraguay a rendu publique une déclaration dans laquelle il reconnaissait la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud et son intégrité territoriale, tout en insistant sur une solution politique pacifique et durable de l’affaire du Sahara.
Pourtant, l’auteur a reconnu l’existence d’ONG qui récoltent des fonds dont personne ne sait exactement la destination.
Les manœuvres des séparatistes et de leurs alliés gagnent également les moyens de communication dits « indépendants » qui donnent une vision erronée de la réalité sociale. La même source rappelle l’exemple de l’espace offert par le quotidien ABC à Ricardo Sánchez Serra qui tente vainement d’envenimer les relations entre le Paraguay et le Maroc.
Et malgré les revers que le régime algérien a subis en Amérique latine ces dernières années, il fait encore et toujours des pieds et des mains pour reprendre l’initiative dans ce continent. Pour ce faire, le régime algérien consent « d’importants investissements afin de donner une bouffée d’oxygène à son appareil de propagande qui récolte les aides humanitaires internationales » alimentant et boostant les comptes bancaires des dirigeants du Polisario.