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Malgré le fait qu’il est l’un des principaux soutiens sur lesquels compte le Polisario, il a exclu le dossier du Sahara de son agenda.
Dans un long discours prononcé mardi matin devant des ambassadeurs africains à Pretoria et des ministres de son gouvernement, Cyril Ramaphosa a accordé une «attention particulière» aux conflits en Libye et au Soudan du Sud, soulignant que son gouvernement «est déjà activement engagé dans la recherche de solutions» à ces deux problèmes.
Cependant, n’en déplaise au Polisario et à l’Algérie, il n’a pas pipé mot sur le Polisario, une omission qui est loin d’arranger les affaires des locataires du camp de Rabouni, aux prises avec des populations, de plus en plus récalcitrantes et prêtes à se soulever contre Ghali et ses comparses.
Cette omission n’a pas été non plus du goût du nouveau locataire du palais Al Mouradia à Alger qui s’est offert le luxe de s’insurger contre l’ouverture des consulats de pays africains à Laâyoune et Dakhla, bien avant que ses protégés du Polisario ne le fassent. Lui et eux comptaient pourtant sur l’Afrique du Sud pour faire barrage au Maroc au sein de l’organisation panafricaine et de panser les nombreuses et profondes cicatrices générées par les actions diplomatiques marocaines sur leurs positions.