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Les deux postes sont installés dans une zone tampon, contrôlée par les milices du Front. Suite à leur intrusion récente à Lagouira contrôlée par la Mauritanie, les protégés d’Alger ont franchi un nouveau pas vers une escalade dans cette zone.
Dans une manœuvre de provocation, le mouvement séparatiste pourrait mener des opérations de contrôle des personnes et des marchandises à destination de l’Afrique, rappelle-t-on.
Les éléments de la Minurso se contentant d’observer ce qui se passe dans le no man’s land, le Polisario essaie de tirer profit de la fin du mandat du secrétaire général des Nations unies et du fait que le Maroc, plus que jamais concentré sur son adhésion à l’Union africaine, souhaite éviter toute confrontation.
Les séparatistes surfent ainsi sur la politique du fait accompli comme ils l'ont déjà fait avec les autres zones tampons (Aghouainit, Amgala, Bir Tirissit, Douguej, M’Hairiz, Mijek, Zoug et Tifarity), situées à l’est du mur de sécurité.
Le Front appelle pompeusement ces lieux de "territoires libérés". « Sauf que cette fois, l’initiative des amis de Brahim Ghali affecte directement la sécurité et la stabilité du Royaume ».
Le Polisario a choisi un moment où il est quasiment certain de l’absence de toute intervention de l’ONU dont la marge de manœuvre est très réduite et qui peut tout au moins lui demander de garantir la libre circulation des personnes et des biens. Ce qui équivaudrait à une reconnaissance du fait accompli.
Selon un connaisseur du dossier, la décision de construire ces postes-frontières pris par le Polisario aurait été prise en réaction au rapprochement entre le Maroc et l’un de ses parrains africains, à savoir le Nigeria,.