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Trésor: émission de bons à court, moyen et long termes
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Le déficit budgétaire se creuse à 35,2 MMDH à fin juillet
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Le taux de chômage mondial des jeunes au plus bas depuis 15 ans
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Compensation : les émissions de dépenses reculent de 42,5% à fin juillet
Ce choix s’explique par les projets structurants en cours, le schéma directeur de développement du rail au Maroc ainsi que le niveau de compétitivité et de qualité de l’infrastructure ferroviaire nationale (1er au niveau africain et 33ème au niveau mondial selon le rapport WEF, édition 2018), indique un communiqué de l’Office national des chemins de fer (ONCF).
Lors de ce congrès, initié par l’Union internationale des chemins de fer et le réseau ferré turc (TCDD) sous le thème “Partager les acquis au service de la pérennité et de la compétitivité du transport ferroviaire”, le Maroc a présenté la stratégie adoptée en matière de développement du secteur ferroviaire qui s’inscrit dans le cadre de la politique des grands chantiers insufflée par SM le Roi Mohammed VI, rapporte la MAP. Politique ayant concerné notamment tous les infrastructures de transport via une accélération du rythme des investissements et la mobilisation d’importants moyens financiers, fait savoir la même source.
Un focus a été également fait sur le projet phare de la liaison à grande vitesse qui reliera les pôles de Tanger et Casablanca, mettant en exergue ses spécificités techniques, ses modes de conception et de pilotage, son niveau d’avancement (aujourd’hui : 97%) ainsi que les retombées attendues y afférentes, ajoute le communiqué.
Cette rencontre qui se tient tous les deux ans, constitue pour les responsables ferroviaires un rendez-vous mondial inédit et une belle opportunité pour les échanges, le partage des expériences et des bonnes pratiques favorables au développement du système ferroviaire de la grande vitesse et au renforcement de son positionnement au service d’une mobilité durable, compétitive, soutenable et performante des citoyens.
Ont pris part à cette manifestation, des décideurs politiques, des responsables gouvernementaux, des organisations internationales, des ONG et des institutions financières, des opérateurs et des exploitants ferroviaires, des industriels ainsi que des organismes de recherche et universités, soit plus de 1.000 congressistes issus de 30 pays, outre des centaines d’experts.