-
Nous en sommes à l’entame de la dernière étape avant d’en finir avec le dossier du Sahara pour nous consacrer entièrement au grand projet de développement
-
Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
-
Driss Lachguar préside la réunion du Conseil national de la Chabiba
-
L’USFP exprime sa grande fierté de la teneur du Discours Royal prononcé à l’occasion du 49ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte
-
Le Groupe socialiste-Opposition ittihadie interpelle l’Exécutif au sujet de l’avenir du commerce extérieur, des infrastructures sportives, du phénomène des résidus de constructions dans les villes, entre autres
Le port de Tanger-Medina connaît, depuis plus de quatre jours, un afflux sans précédent de la Communauté marocaine résidant à l’étranger qui doit reprendre le chemin du retour vers les pays d’accueil, ce qui a surpris les autorités chargées de la gestion de l’opération Transit. En effet, les files d’attente étaient très longues dépassant les cinq kilomètres, et la durée d’attente a frôlé les 12 heures. Il y a eu même certains qui étaient contraints d’y passer la nuit, dans des conditions lamentables, en attente de leur départ.
La grande affluence des passagers a compliqué la mission des forces de l’ordre qui étaient chargées d’organiser les files d’attente au long de la corniche de la ville afin d’éviter les bousculades et autres désagréments. La tâche n’était guère aisée à cause de l’existence de plusieurs chemins menant au port et l’état de fatigue et de lassitude causé par l’attente.
L’incapacité de l’Exécutif à prendre des mesures préventives pour faire face à de telles situations a provoqué quelques protestations.
Sur les causes de ces encombrements, des sources bien informées ont déclaré à notre confrère qu’elles sont dues à deux facteurs essentiels. En premier lieu, la majorité des MRE préfèrent embarquer au port de Tanger-Medina à cause des problèmes et de la maltraitance qu’ils ont rencontrés l’année dernière au port de Tanger-Med. Concernant le second facteur, il relève de la responsabilité du gouvernement qui a mal évalué la situation, du fait qu’il n’a pas cherché à combler le vide laissé par la dissolution des compagnies Comanav et Comarit.