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Le CNDH se saisit de l’affaire : Un étudiant torturé à la préfecture de police de FèsMustapha Elouizi
Mercredi 29 Août 2012
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Un étudiant détenu à la prison civile d’Aïn Kadous à Fès, a évoqué récemment des scènes de torture, au sein de la préfecture de police judiciaire de la même ville. Une délégation de la Commission régionale du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) s’est rendue récemment auprès de l’étudiant en question, pour s’enquérir de sa santé et prendre connaissance de ses revendications et doléances. Agé de 26 ans, Mohamed Salah affirme avoir été torturé sur les plans psychique et physique de manière «sauvage». Il évoque ainsi des méthodes dignes des années de plomb : dans sa lettre/témoignage. Le gouvernement n’a pas encore réagi à ces propos, lui qui s’est dit sensible à la question des droits de l’Homme. Ce n’est pas le premier étudiant qui témoigne de ces scènes de maltraitance dans les commissariats de Fès. Les faits relatifs à sa détention ont rapport avec son intention d’aller en Tunisie prendre part à un colloque international. En allant chercher son passeport à la préfecture de Sefrou, il a été surpris par des policiers en civil qui l’avaient arrêté et remis immédiatement à la police judiciaire de Fès. En détention provisoire depuis le 13 juin dernier, Mohamed Salah ex-activiste de la tendance «kaïdiyyines» de l’UNEM à l’Université Dhar Mehraz de Fès et membre du Mouvement du 20 février à Sefrou, avait déjà été condamné à six mois de prison avec sursis en 2009, en compagnie de certains camarades. Après une licence en droit public, Mohamed Salah avait rejoint la Faculté de droits d’Agdal à Rabat, d’où il était sorti major de sa promotion en master es-sciences politiques. Le gouvernement actuel est interpellé à plus d’un titre, notamment le ministre de la Justice et des Libertés qui évoquait des scènes de ce genre lorsque son parti était dans l’opposition. Lu 1106 fois
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