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Le 20 février séduit aussi les casseurs : Manifestations globalement responsablesKamal MOUNTASSIR
Mardi 8 Mars 2011
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Les week-ends de protestation se suivent et se ressemblent. Le mouvement du 20 février poursuit sa contestation dans la paix et le calme. A travers le pays, plusieurs centaines de personnes sortent pour s’exprimer et présenter leurs revendications et leurs doléances. Des rassemblements ont eu lieu dans plusieurs villes du pays pour réclamer des réformes sur plusieurs plans. En premier lieu les slogans revendiquaient des changements à caractère politique et portaient sur les revendications lancées par le mouvement du 20 février. Dans plusieurs villes, des sit-in ont été organisés, et ce en dépit du refus d’autorisation des autorités publiques, pour réclamer pacifiquement des réformes. Rabat, Casablanca, Tanger, Fès, Marrakech, El Jadida, Agadir et Tétouan ont connu des mouvements pacifiques de protestation. Il faut dire que dans quelques villes, les casseurs se sont mêlés à la foule pour gâcher un mouvement de protestation pacifique et légitime. Quelque trois cents personnes se sont rassemblées, dimanche en fin d'après-midi à la Place Al-Barid, à Rabat. Il en était de même dans la métropole où des centaines de personnes ont manifesté pour les mêmes raisons à la place des « pigeons », non loin de la wilaya. Dans la capitale, les manifestants ont été dispersés par les forces de l’ordre alors qu'ils s'apprêtaient à installer des haut-parleurs pour animer une soirée sur la voie publique sans autorisation préalable. Aucun blessé n’a été déploré lors de cette intervention et aucune arrestation n’a été enregistrée. Les manifestants, en majorité des jeunes, réclamaient un Etat de droit et des réformes politiques et sociales profondes. Hormis le mouvement du 20 février, à travers tous ces rassemblements, on a constaté la présence de plusieurs autres mouvements politiques et des militants d’associations des droits humains. Le même mouvement a lancé un appel pour une nouvelle manifestation à travers le pays pour le 20 mars prochain. Rappelons que le Souverain avait, lors de l’installation du Conseil économique et social, assuré que des réformes envisagées bien avant le 20 février seraient exécutées selon un agenda bien précis.
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