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Le CNDH a été représenté à ces assises en sa qualité de membre du Réseau africain des institutions nationales des droits de l'Homme (RINADH), point focal au sein de cette instance chargée de l'examen des questions migratoires, désignée par l’Alliance globale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI).
Ces consultations ont notamment permis de coordonner la contribution de la société civile africaine à l'élaboration de ce Pacte et de définir les prochaines mesures pour une participation effective du continent au processus du Pacte mondial pour la migration, indique un communiqué du CNDH, transmis à la MAP.
Plusieurs questions ont figuré à l'ordre du jour de ces délibérations, dont la xénophobie, le racisme, la discrimination, les causes profondes de la mobilité en Afrique et la ratification des conventions et pactes.
Ce conclave a été organisé conjointement par le Réseau panafricain pour la défense des droits des migrants, le Réseau de la société civile -migration et développement-, l’Institut de recherche et de promotion des alternatives en développement et l’Association malienne des expulsés.
Il a été tenu en collaboration avec des organisations internationales, entre autres, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), la Confédération syndicale internationale (ITUC), Women in migration network (WiMN) et la Coalition mondiale sur la migration.
Le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières est issu du Sommet de haut-niveau sur les réfugiés et les migrations, qui s'était déroulé en septembre 2016, à New York. C’était la première fois que les chefs d’Etat et de gouvernement du monde se réunissaient à l’ONU dans le but d’améliorer la coopération internationale et la gouvernance en matière de migration et des questions inhérentes aux réfugiés.
A l’issue de ce sommet, la déclaration de New York avait été adoptée, en vertu de laquelle 93 Etats membres de l’Organisation onusienne s'étaient engagés à se pencher sur l'examen de deux pactes ; à savoir le Pacte mondial sur les réfugiés et le Pacte mondial sur la migration.