-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
-
En Tunisie, des femmes pêcheuses combattent les inégalités et le changement climatique
-
Le Danemark a un champion de pâté en croûte
« Nos résultats démontrent que certaines mutations génétiques sur Shank3 sont à la source d'un nombre significatif de cas de schizophrénie », explique le Dr Guy Rouleau, Directeur de Recherche au CHU Sainte-Justine de Montréal.
Les mutations observées sur ce gène altèrent en fait la forme des cellules nerveuses. Elles pourraient aussi être en cause dans le développement de l'autisme. « Nos récents travaux tendent à penser qu'il existe effectivement un lien de nature génétique entre ces deux maladies du développement nerveux », enchaîne l'auteur. Il suggère enfin que ce gène pourrait être impliqué dans d'autres maladies cérébrales.