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Les représentants de plusieurs pays frères et amis d’Afrique et du monde arabe ont tenu à prendre la parole, durant cette session, pour saluer les efforts du Maroc, déployés dans un esprit de pondération et de sérénité d’un pays sûr de la légitimité historique de sa cause et du caractère irréfragable de son intégrité territoriale.
A cet égard, le représentant permanent du Gabon à l’ONU, rappelant la situation sécuritaire qui règne dans une région sahélo-saharienne «marquée par de nombreux défis», avait souligné que la situation du Sahara doit être «encadrée avec beaucoup de sagesse et de précision afin d’empêcher la contagion de ces défis sécuritaires, y compris le terrorisme».
Le diplomate a, dans ce cadre, «salué et encouragé» le plan d’autonomie au Sahara, sous souveraineté marocaine porteur de perspectives «crédibles et rassurantes, permettant non seulement de mettre fin à l’impasse actuelle, mais aussi de parvenir à un accord définitif».
Pour sa part, la représentante permanente adjointe du Burkina Faso avait souligné que le plan d’autonomie présenté par le Maroc constitue «une alternative crédible et réaliste dans le dénouement de ce différend».
L’issue à l’impasse dans laquelle se trouve le différend ne saurait aboutir sans un esprit de «réalisme et de compromis», avait-elle dit.
La nature réaliste du plan marocain a également été vivement saluée par le représentant permanent du Burundi, qui a qualifié l’initiative marocaine d’option «réaliste et viable» à même d’offrir la meilleure chance de parvenir à une solution politique équilibrée et mutuellement acceptable au conflit.
Même son de cloche chez l’ambassadeur adjoint de la République Centrafricaine, qui a estimé que la spécificité de cette question appelle à une «réponse spécifique qui s’inscrit dans le cadre de l’initiative marocaine d’autonomie».
De son côté, la représentante de l’Arabie Saoudite a salué l’initiative marocaine en tant que «choix constructif» susceptible de faire parvenir à une solution politique mutuellement acceptable qui constitue la condition sine qua non pour réaliser la paix et la stabilité dans la région sahélo-saharienne.
Ce même constat a été mis en relief par la représentante de la Jordanie, qui a tenu à appeler les parties à s’engager dans des négociations «sérieuses et de bonne foi sur la base du plan d’autonomie» afin de trouver une solution politique durable, qui prend en considération aussi les attentes des habitants de la région.
Face au réalisme et à l’esprit d’initiative du Maroc, le groupe séparatiste et ses mentors algériens ont fait preuve d’une rigidité et d’un manque flagrant de réalisme, en persistant, depuis 40 ans, dans leurs tentatives visant à hypothéquer toute possibilité de résoudre ce conflit, au détriment des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, au sud-ouest algérien.