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Si l’année 2017 a été marquée par le Hirak du Rif, l’année 2018 a été celle du mouvement des protestations sociales qui a éclaté à Jérada au début de l’année.
Précisément, après la mort, le 22 décembre, de deux jeunes ouvriers dans une mine clandestine de charbon.
Suite à ce drame, la ville a vécu au rythme de mouvements de protestation quasi-quotidiens qu'accompagnent des « vendredi de colère », « des marches du pain noir », des sit-in et des grèves qui ont été largement suivis par la population.
Pour cette dernière, la région de l'Oriental demeure l'une des plus pauvres et où les disparités sociales et territoriales sont visibles à l’œil nu.