-
Driss Lachguar au congrès régional USFP/ Skhirat-Témara : La réforme du Code de la famille doit traduire une volonté nationale d’établir une société égalitaire et juste, où hommes et femmes jouissent des mêmes droits
-
Présidence marocaine du Conseil des droits de l'Homme : Mission accomplie avec brio
-
Le Maroc à l'UA: Une action soutenue en faveur de la paix, de la sécurité et du développement du continent
-
Drones de combat Le Maroc en quête d'excellence technologique
-
Année 2024: Un engagement fort et un rôle agissant du Maroc au sein du CPS de l'UA
Il demande à Ban Ki-moon, dans un délai de quatre mois, de lui dire si la mission est désormais apte à fonctionner à plein tout en se déclarant prêt, si ce n'est pas le cas, "à envisager les meilleurs moyens de faciliter la réalisation de cet objectif".
Le texte ne prévoit cependant aucune sanction ni mesure coercitive pour forcer le Maroc à revenir sur sa décision, mais les tractations n’étaient pas des plus simples. Les représentants de la Russie, du Venezuela, de l’Uruguay et de l’Angola ont demandé un temps supplémentaire pour pouvoir consulter leurs capitales respectives sur la nouvelle mouture, selon la même source.
Les représentants de ces pays ont refusé de s’engager dans un tel projet avant de prendre les avis de leurs gouvernements.
Ces actions de coordination avec les gouvernements pourraient retarder l’adoption de la résolution jusqu’à aujourd’hui, précise-t-on de même source.
En attendant, les consultations sur ce projet de résolution se poursuivront ce matin au niveau des experts et des représentants permanents des membres du Conseil de sécurité.