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"Seul le ministère des Affaires étrangères de l'Algérie peut autoriser l'entrée des aides humanitaires sur le territoire national algérien et veille à ce que le Croissant-Rouge sahraoui soit la seule institution saharienne responsable de sa rétention», se résigne à avouer ce soi-disant ministre. Etayant ses dires, Moustapha Sayed a souligné que les milices armées du Polisario ont été sommées de quitter les lieux en vertu des résolutions du Conseil de sécurité, stipulant qu’aucun changement du statut juridique de la zone tampon n’était autorisé.
Les injonctions de l’instance décisive de l’ONU et les mesures restrictives de mouvement imposées par les autorités algériennes font que le Polisario dont l’isolement est dicté par les nouvelles réalités géopolitiques marquées par la chute des régimes dictatoriaux d’Amérique latine, dont le dernier est le dictateur bolivien Evo Morales, ne sait plus où donner de la tête