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Ces revers portaient sur les questions relatives aux détournements des aides humanitaires, au recensement des Sahraouis des camps de Tindouf, et à la taxation des aides européennes par l’Etat algérien. Autant de sujets sensibles que la Commission européenne vient de remettre sur la table des discussions.
La liste des sujets qui ont suscité la colère des dirigeants d’Alger et de leurs protégés du Polisario ne s’arrête pas là. Il y a la citation à comparaître du chef du Polisario, Brahim Ghali devant l’Audience nationale, la plus haute Cour pénale espagnole, l’annonce de la tenue le 21 mars à Dakhla, d’une nouvelle édition du Forum Crans Montana et la confirmation par la France de son soutien inconditionnel à la proposition marocaine d’autonomie, que le Quai d’Orsay a qualifiée, une nouvelle fois, de «sérieuse et crédible» à même de constituer une solution juste, durable et mutuellement acceptable, sous l’égide des Nations unies», a déclaré le porte-parole du Quai d’Orsay, tout en soulignant que « la position de la France sur ce sujet est connue et constante ». Le diplomate français a précisé que son pays « considère le plan d’autonomie présenté par le Maroc en 2007, comme une base sérieuse et crédible en vue d’une solution négociée, juste, durable et mutuellement agréée, sous l’égide des Nations unies et conformément aux résolutions du Conseil de sécurité».
Et pour comble, le commissaire européen chargé de l’aide humanitaire, Christos Stylianides, a exacerbé les préoccupations des ennemis du Maroc en révélant que la Commission européenne «prend très au sérieux le problème du détournement de l’aide humanitaire», précisant que la ladite Commission a pris, à cet effet, des «mesures prudentielles et correctives énergiques».
Les eurodéputés ont saisi cette Commission pour lui demander d’exiger des explications de l’Algérie sur la taxation (5%) des aides européennes et l’application de la TVA aux achats locaux de marchandises destinées aux populations des camps de Tindouf, d’une part. D’autre part, les eurodéputés ont interpellé cette Commission à propos des mesures prises par l’exécutif européen pour faire pression sur l’Algérie en vue de recenser les bénéficiaires de ces aides et partant de faire cesser les détournements de ces dernières.