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Inquiets de ce que peut être le résultat de cette visite, le Polisario et l’Algérie tentent d’ameuter les lobbyistes auxquels le DRS n’a eu de cesse de verser d’importants subsides et de leur donner comme instructions de relancer le projet d’élargissement du mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme. Ces tentatives de mobilisation de leurs suppôts américains, n’ont, pour le moment, pas eu de suite positive. Seuls deux élus ont répondu présent à l’appel de Mohamed Abdelaziz et ses commanditaires algériens. Il s’agit des sénateurs James Inhofe (républicain) et Patrick Leahy (démocrate).
Ces deux élus viennent, en effet, d’adresser une missive conjointe trop tendancieuse au président Barack Obama. « Nous vous adressons cette lettre pour vous demander d’examiner la question des violations incessantes des droits de l’Homme au Sahara avec le Souverain marocain au cours de sa prochaine visite aux Etats-Unis », demandent-ils.
Pour sa part, Kerry Kennedy, présidente du Robert F. Kennedy center for human rights, s’est adressée, sur le même sujet au secrétaire d’Etat américain John Kerry, avant qu’il n’annule sa visite au Maroc, pour lui rappeler les visites qu’ils ont effectuées tous les deux au Sahara et dans les camps de Tindouf en Algérie.
Mais ce que les lobbyistes à la solde d’Alger ignorent ou font semblant d’ignorer, c’est que pour accentuer l’isolement des habitants des camps, les autorités militaires algériennes ont décidé, depuis plusieurs mois déjà, d’interdire les déplacements nocturnes entre les camps et la ville de Tindouf et d’en interdire l’entrée ou la sortie à tout véhicule. Une autre décision encore plus contraignante a été imposée aux véhicules immatriculés dans les camps en leur interdisant de circuler dans les villes algériennes. Selon des sources bien informées, toutes ces décisions qu’ignorent, sans aucun doute les « amis » du Polisario, ont été prises au niveau du DRS, les services secrets algériens qui ont la haute main à la fois sur les camps et sur le Polisario. Ce que n’ont pas admis les Sahraouis qui accusent, non sans raison d’ailleurs, la direction du Polisario de s’être totalement pliée au diktat des généraux du DRS.