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Ne faisant rien comme les autres, Agnès b. a présenté son travail dans la suite d'un palace parisien, où, de la chambre à la salle de bain en passant par le salon ou la terrasse, ses modèles, entre jeunes dandys et rockers tendres ont présenté des vêtements "à toucher".
Pour Masatomo, le plus japonais des créateurs parisiens, Rynshu, prend le large pour les contrées ensoleillées. Sa collection voit la vie en bleu azuréen dont il imprime ses modèles au jet d'encre, reproduisant tant les palmiers, les flots bleus que les nuages immaculés.
Le styliste en appelle aux matières allant du cuir, glacé ou plongé pour plus de légèreté, en passant par les mélanges de lin, polyamide mais aussi le viscose qu'il "pré-peint" avant de le découper en tous sens.
Du coté des jeunes talents, on retiendra le travail de Khalid al-Qasimi pour sa marque Qasimi. Le jeune émirati formé à la prestigieuse école Saint Martins londonienne, redéfinit les codes du "tailoring" en les mêlant harmonieusement aux lignes raffinées de ses souvenirs d'enfance au Moyen-Orient. Son vestiaire vise haut, empruntant à la garde-robe féminine l'organza, la mousseline de soie et même le tulle, qu'il propose pour la mini-cape à capuche de son marié. Élitiste mais sexy, l'homme Qasimi se pare de cristaux miroir disposés en étoile sur les pectoraux, déambule, hiératique, en mini boléro lamé. Lamé que l'on retrouve en tissé en maille cette fois, sur un pantalon seyant au riche aspect damassé. Le créateur ne lésine pas sur l'originalité, qui se retrouve autant sur des chemises de soie translucides à pans ajourés, certaines boutonnées dans le dos, que sur des débardeurs échancrés en coton biologique ou des sarouels dont la taille est travaillée en un savant plissé.