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Selon Omar Moustaine, président de l’Association des médecins internes du Centre hospitalo-universitaire Ibn Rochd de Casablanca (AMIC), les raisons de l’actuel débrayage sont le non-versement des salaires des treize derniers mois pour les premiers et des onze derniers mois pour les seconds et d’autre part, l’opérationnalisation de la loi relative à leur intégration au sein de la Fonction publique et le paiement des indemnités des gardes obligatoires impayées depuis 2007.
Les protestataires demandent également l’amélioration de leurs conditions de travail, l’augmentation de leurs salaires comme convenu avec le ministère de la Santé et la couverture médicale.
Ils dénoncent, par ailleurs, l’insécurité qui règne au sein des établissements hospitaliers.
En parallèle avec l’entame de leur grève illimitée, ils ont observé, mercredi et jeudi derniers, deux sit-in devant l’administration générale du CHU de Casablanca.
Il convient de signaler que seules les gardes continueront à être assurées durant les jours de grève.