-
Nos vœux
-
L’heure du retour au pays des réfugiés syriens aura-t-elle sonné ?
-
Benkirane pérore sur les incendies et la «colère divine»
-
Comment le Maroc redéfinit les standards du tourisme
-
Célébration du Nouvel An amazigh : Un événement majeur reflétant la Haute sollicitude Royale envers la culture et le patrimoine amazighs
Les grèves continuent, malheureusement, à devenir répétitives et comme par hasard tous les jeudis et vendredis, ce qui fait un congé hebdomadaire de quatre jours si l’on inclut le week-end.
Normal que lesdites grèves gagnent en impopularité, les services rendus aux citoyens restant en souffrance. C’est d’autant plus incompréhensible que l’actuel gouvernement est en train de vivre ses derniers jours. Faute d’interlocuteur, il n’y a rien à espérer. Ceci d’autant plus qu’il ne s’agirait, dans le cas d’espèce, que de simples manœuvres syndicales émanant d’une centrale minoritaire.
Selon une source proche de la Fédération démocratique du travail (FDT), ces débrayages sont motivés par les visées de l’Organisation démocratique du travail (ODT) de siéger dans les commissions paritaires qui seront formées lors des élections de février 2012 non pas par le pouvoir des urnes, mais par la force des débrayages. Ce qui est non seulement impossible, mais fort préjudiciable à la collectivité.
A rappeler que plusieurs mesures ont été prises en avril dernier pour améliorer la situation administrative, financière et sociale des fonctionnaires et agents des collectivités locales.
Ces mesures ont porté, entre autres, sur la suppression des échelles 1 à 4, et le reclassement des fonctionnaires classés dans ces échelles dans l'échelle 5 à l'instar des fonctionnaires de l'Etat, le règlement de la situation des fonctionnaires titulaires de la licence ainsi que, la révision du statut de certains fonctionnaires dont la situation ne leur permettait pas d'avoir des perspectives de promotion.