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Pour les organisateurs de ces manifestations, les déceptions, rapporte la MAP, se suivent et ne se ressemblent pas. Une conférence organisée en début de semaine au Parlement européen à Bruxelles par une association de juristes sympathisants du Polisario a réuni à peine une trentaine de personnes et bien entendu tous les palabres ont fait la part belle à un antimarocanisme primaire, exacerbé d'ailleurs par le tournant majeur qui marque l'histoire de la question du Sahara avec le lancement du modèle de développement des provinces du Sud et de la régionalisation avancée.
Le 6 novembre sur la place du Trocadéro à Paris, quelques énergumènes se sont donnés en spectacle par leur agitation devant une assistance clairsemée. Pitoyable !
Quelques jours auparavant à Rome, le même scénario.
Jeudi, un sit-in pro-Polisario devant le siège des Nations unies dans la capitale européenne a rassemblé 17 personnes, en majorité des pensionnés séniles et des désœuvrés qui ne sauraient même pas situer le Maroc sur une carte.
Ce même jeudi à Madrid, une conférence de presse du chef des séparatistes moribond, à laquelle les médias algériens ont réservé tout un tapage, n'a pu attirer qu'une poignée de journalistes dont deux représentant la presse espagnole de caniveau et bien sûr la télévision et la presse algériennes.
Idem pour la projection d'un film sur la même question il y a quelques semaines à Amsterdam : trois pelés et un tondu, dans une salle insalubre souvent occupée par des squatteurs et des vagabonds.
A cette propagande en perte de vitesse, s'ajoutent les déboires politiques à répétition essuyés par les ennemis de l'intégrité territoriale.
Lors de la dernière séance plénière à Strasbourg, le Parlement européen a rejeté une requête déposée par le groupe politique de la gauche unitaire européenne (GUE/NGL), qui compte parmi ses membres des affidés du régime algérien, tendant à inscrire à l'ordre du jour, de prochaines réunions plénières, un point relatif à la question du Sahara.
Au Parlement fédéral belge, un texte sur le Sahara ne trouve pas preneur parmi les députés convaincus qu'ils sont de son inanité.
Cette fin de non-recevoir de la part des instances européennes rappelle que la question du Sahara ne peut faire l'objet de surenchères politiques, ni de marchandage.
D'autres victoires politiques à l'actif du Maroc ont été engrangées à la faveur d'une diplomatie proactive et d'une vision prémonitoire, confortant ainsi la justesse de la cause nationale et la fiabilité du Maroc en tant qu'acteur régional et partenaire de premier plan en matière de sécurité et de stabilité de l'ensemble de la région. En témoigne la vague, sans précédent, de retraits de reconnaissances de la pseudo-Rasd, principalement en Amérique latine et en Afrique, sans oublier qu'aucun pays européen, asiatique, d'Amérique du Nord ou du monde arabe n'a reconnu l'entité fantoche.
La position de ces pays, unanimes autour de la nécessité de trouver une solution politique à ce conflit artificiel, ne saurait s'écarter de celle de l'ensemble de la communauté internationale qui juge sérieuse, crédible, réaliste et réalisable la proposition marocaine de large autonomie des provinces du Sud du Royaume, dont SM le Roi Mohammed VI a jeté les bases lors de sa dernière visite dans la région, en lançant d'importants projets d'infrastructure ou à caractère économique et social, dans le cadre d'un modèle de développement porteur de grandes ambitions pour la région.