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La direction de l’OFPPT fait la sourde oreille : Les formateurs contractuels en sit-in de trois joursKAMAL MOUNTASSIR
Vendredi 17 Décembre 2010
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Devant la politique de la fuite en avant et les abus de la direction de l’Office de formation professionnelle et de la promotion du travail, les formateurs contractuels qui ont à maintes reprises réclamé à la direction dudit office un dialogue sérieux et responsable loin des surenchères et des menaces sont entrés en sit-in de trois jours devant la direction générale de l’OFPPT. Mais l’office géré par Bencheikh semble ignorer toutes ses doléances et se comporte comme si on vivait encore les années de plomb. Tous les appels au dialogue pour trouver des solutions objectives ont été ignorés par l’OFPPT qui ne respecte aucunement le Code du travail. “On ne dispose ni d’un bulletin de paie, ni d’une attestation de salaire, encore moins d’un certificat de travail en bonne et due forme et ce, malgré le contrat de trois pages signé par le formateur. Un simple virement à la banque nous lie à l’office”, explique l’un des grévistes en sit-in devant le siège de l’OFPPT à Casablanca. Et un autre de préciser non sans grogne et sentiment d’injustice que les formateurs contractuels travaillent au noir. Le barème des salaires n’est pas respecté et on ne sait pas exactement ce qu’on doit percevoir. Ce qui est grave dans un Etat qui se veut de droit. Mais ce qui intrigue le plus, c’est l’imperturbable comportement de la direction de l’office qui refuse d’appliquer la loi dans un Etat de droit. Y a-t-il toujours dans le Maroc de la démocratie et de la modernité encore des personnes ou des institutions au-dessus de la loi ? Dans le cas de l’office où règne Bencheikh en maître absolu, il semble que c’est le malheureusement le cas. A en croire les quelques interventions ici et là en public ou en privé, le directeur dudit office peut se trouver des motifs de satisfactions quant à la bonne marche de l’office qu’il préside, il n’en reste pas moins vrai qu’il y a beaucoup d’anomalies et d’aberrations dans cet établissement si l’on en croit des témoignages et des contractuels, voire des permanents qui souffrent de plusieurs maux engendrés par une gestion abusive pour ne pas dire plus.
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