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Ainsi, le retour en force du Maroc sur la scène africaine ne fait manifestement pas que des heureux, mais fait face à une piètre diplomatie algérienne avec en tête un Ramdan Laâmamra, qui ne sait plus sur quel pied danser, tellement il est aux abois. En tant que ministre algérien des Affaires extérieures et de la Coopération internationale, Laâmamra tente vainement de remonter les Nations unies contre le Maroc, en l’appelant à «trouver une solution juste et équitable aux problèmes en suspens dont les questions palestinienne et du Sahara marocain». Les analystes politiques savent que dans pareilles circonstances, le message est adressé à l’opinion publique en Algérie. Le peuple algérien, plus au fait de ses conditions mais aussi de celles de ses voisins, sait pertinemment que le pays est mal géré, puisque le poste présidentiel vacant, officieusement, laisse la place à une junte ayant usurpé le pouvoir, sans passer par les urnes bien évidemment. L’opposition algérienne, notamment la célèbre Louisa Hanoun, ne mâche pas ses mots : «Il y a bien une confiscation du pouvoir!».
Si la percée africaine du Maroc est retentissante, la violence verbale de la diplomatie algérienne bat son plein. Laâmamra tient surtout à assimiler lutte africaine pour la libération et tentative algérienne de freiner l’élan marocain pour le développement, selon l’agence de presse sahraouie, relevant du Polisario. «Les vents de la libération et de la liquidation du colonialisme dans le continent africain ont débouché sur le succès de tous ses peuples à recouvrer leur indépendance, à l’exception du peuple sahraoui », a-t-il fanfaronné.
Relais de leurs maîtres, les médias algériens, censés normalement rendre compte des conditions de vie du peuple, ont tenté une fuite en avant, en se mêlant des affaires qui ne les concernent aucunement! Ils vont jusqu’à concocter des histoires montées de toutes pièces, pour occulter l’isolement d’Alger dans un continent qui reprend de plus en plus l’initiative du développement durable, loin de toute politique de pots-de-vin à grande échelle.
Dans cet ordre d’idées, le quotidien algérien, Al Fajr, connu du reste pour son agressivité contre tout ce qui est marocain, rapporte sur un ton anecdotique des propos qu’il attribue au président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz. Ce dernier aurait, en effet, réfuté la condition du Maroc pour son retour à l’Union africaine et aurait même estimé que l’éviction du Polisario de cette organisation est une « ligne rouge » à ne pas franchir. Rien que ça ! On cherche bien midi à quatorze heures, à Alger !