Quarante tonnes d'aides ont été larguées par des avions de la coalition arabe dirigée par l'Arabie Saoudite sur des secteurs de la ville de Taëz assiégés par les rebelles houthis, rapporte mercredi l'agence officielle SPA.
Cette aide, composée de médicaments, d’équipements médicaux et de la nourriture sèche, vise "à briser le siège imposé sur des zones de la province de Taëz", de quelque 600.000 habitants, a déclaré Abdallah al-Rabeeah, directeur du Centre Roi Salmane d'aide humanitaire, cité par la SPA. Le 18 décembre, l'ONU avait indiqué qu'une centaine de camions chargés d'aide alimentaire étaient arrivés à Taëz.
En mai, l'Arabie Saoudite a promis 540 millions de dollars d'aide au Yémen en mettent en place le Centre Roi Salmane d'aide humanitaire.
Par ailleurs, dix anciens détenus yéménites de la prison américaine de Guantanamo sont arrivés jeudi à Oman pour un "séjour temporaire", au moment où Washington cherche à fermer ce centre de détention controversé, a indiqué le ministère omanais des Affaires étrangères.
Oman, pays frontalier du Yémen, a accueilli les 10 hommes "à la demande de l'administration américaine pour aider à résoudre le problème des détenus de Guantanamo", a précisé le ministère dans un communiqué diffusé par l'agence officielle omanaise ONA.
Le président américain Barack Obama, qui avait fait de la fermeture de la prison une promesse phare dès son premier mandat, s'est résigné à signer en novembre 2015 la grande loi de défense 2016 qui renouvelle en particulier l'interdiction de fermer Guantanamo.
La Maison Blanche continue toutefois à travailler sur un nouveau plan, annoncé de longue date, pour fermer cette prison, créée en janvier 2002 sur l'île de Cuba dans la foulée des attentats du 11-Septembre 2001,et dans laquelle ont été emprisonnées jusqu'à 779 personnes.
Dans son discours sur l'état de l'Union mardi, le président Obama avait de nouveau promis de fermer la prison, la jugeant "inutile".
Des détenus qui s'y trouvent sont régulièrement rapatriés ou envoyés dans d'autres pays ayant accepté de les recevoir.
Plus tôt cette semaine, les autorités saoudiennes avaient indiqué qu'un détenu saoudien de Guantanamo, Mohamed Al Shamrani, avait été rapatrié à Riyad, où il doit débuter un programme de réhabilitation pour anciens combattants armés. Détenu depuis 14 ans à Guantanamo, il était accusé d'être un membre d'Al-Qaïda.
Et le 9 janvier, le dernier Koweïtien détenu à Guantanamo, présenté comme un conseiller d'Oussama ben Laden, ancien chef d'Al-Qaïda, a regagné son pays. Faez Mohammed Ahmed al-Kandari, détenu pendant 14 ans à Guantanamo, était le dernier des 12 Koweïtiens qui sont passés par le centre de détention américain.
Kandari fait partie d'un groupe de 17 prisonniers dont le transfert est prévu en janvier de Guantanamo vers d'autres pays qui ont accepté de les recevoir. Deux d'entre eux ont été transférés le 6 janvier au Ghana et à l'issue de ce transfert, il ne restait plus que 90 détenus à Guantanamo.
Le transfert de 45 de ces prisonniers a été approuvé, mais reste dans de nombreux cas, principalement ceux des détenus yéménites qui ne peuvent être rapatriés dans leur pays en guerre, à trouver un Etat pour les accueillir.
Cette aide, composée de médicaments, d’équipements médicaux et de la nourriture sèche, vise "à briser le siège imposé sur des zones de la province de Taëz", de quelque 600.000 habitants, a déclaré Abdallah al-Rabeeah, directeur du Centre Roi Salmane d'aide humanitaire, cité par la SPA. Le 18 décembre, l'ONU avait indiqué qu'une centaine de camions chargés d'aide alimentaire étaient arrivés à Taëz.
En mai, l'Arabie Saoudite a promis 540 millions de dollars d'aide au Yémen en mettent en place le Centre Roi Salmane d'aide humanitaire.
Par ailleurs, dix anciens détenus yéménites de la prison américaine de Guantanamo sont arrivés jeudi à Oman pour un "séjour temporaire", au moment où Washington cherche à fermer ce centre de détention controversé, a indiqué le ministère omanais des Affaires étrangères.
Oman, pays frontalier du Yémen, a accueilli les 10 hommes "à la demande de l'administration américaine pour aider à résoudre le problème des détenus de Guantanamo", a précisé le ministère dans un communiqué diffusé par l'agence officielle omanaise ONA.
Le président américain Barack Obama, qui avait fait de la fermeture de la prison une promesse phare dès son premier mandat, s'est résigné à signer en novembre 2015 la grande loi de défense 2016 qui renouvelle en particulier l'interdiction de fermer Guantanamo.
La Maison Blanche continue toutefois à travailler sur un nouveau plan, annoncé de longue date, pour fermer cette prison, créée en janvier 2002 sur l'île de Cuba dans la foulée des attentats du 11-Septembre 2001,et dans laquelle ont été emprisonnées jusqu'à 779 personnes.
Dans son discours sur l'état de l'Union mardi, le président Obama avait de nouveau promis de fermer la prison, la jugeant "inutile".
Des détenus qui s'y trouvent sont régulièrement rapatriés ou envoyés dans d'autres pays ayant accepté de les recevoir.
Plus tôt cette semaine, les autorités saoudiennes avaient indiqué qu'un détenu saoudien de Guantanamo, Mohamed Al Shamrani, avait été rapatrié à Riyad, où il doit débuter un programme de réhabilitation pour anciens combattants armés. Détenu depuis 14 ans à Guantanamo, il était accusé d'être un membre d'Al-Qaïda.
Et le 9 janvier, le dernier Koweïtien détenu à Guantanamo, présenté comme un conseiller d'Oussama ben Laden, ancien chef d'Al-Qaïda, a regagné son pays. Faez Mohammed Ahmed al-Kandari, détenu pendant 14 ans à Guantanamo, était le dernier des 12 Koweïtiens qui sont passés par le centre de détention américain.
Kandari fait partie d'un groupe de 17 prisonniers dont le transfert est prévu en janvier de Guantanamo vers d'autres pays qui ont accepté de les recevoir. Deux d'entre eux ont été transférés le 6 janvier au Ghana et à l'issue de ce transfert, il ne restait plus que 90 détenus à Guantanamo.
Le transfert de 45 de ces prisonniers a été approuvé, mais reste dans de nombreux cas, principalement ceux des détenus yéménites qui ne peuvent être rapatriés dans leur pays en guerre, à trouver un Etat pour les accueillir.
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