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Les U15 en stage de préparation à Maâmora
“On s’est très bien entraîné, on est très bien préparé. Les Italiens peuvent venir !”, a déclaré mardi l’avant-centre allemand, qui connaît bien les futurs adversaires, puisqu’il joue à la Lazio Rome. Klose a promis à la Squadra Azzurra un match très différent de celui remporté aux tirs au but face à l’Angleterre (0-0, 4-2, ap. t.a.b) en quart. “Les Italiens ont eu le contrôle de la balle et ont pressé les Anglais dans leur camp. Cela n’arrivera sans doute pas avec nous. On aura une autre stratégie. On connaît leurs faiblesses”, a-t-il prévenu.
Les Allemands se sont attachés à éviter tout parallèle avec les confrontations passées, qui ont systématiquement tourné à l’avantage des Italiens, lorsqu’il s’agissait de matches à élimination directe des grandes compétitions.
La dernière en date reste particulièrement douloureuse, la défaite (2-0 ap. prol.) en demi-finale de “leur” Mondial, en 2006.
“Imposer notre rythme”
“C’est une équipe complètement différente de 2006. Il y a eu énormément de changements, dans le football italien et surtout dans l’équipe nationale”, a balayé Joachim Löw d’un revers de main.
Ce qui ne signifie pas qu’il ne redoute pas cet adversaire: “Ils ont de très gros points forts, beaucoup de qualités et de savoir-faire qu’ils ont montré dans ce tournoi”.
Il se méfie tout particulièrement de leur organisation changeante. “On a dû se préparer aux deux cas de figure, le 3-5-2 ou le 4-4-2. Les Italiens sont très forts dans ces systèmes, meilleurs que les autres. Ils passent de l’un à l’autre sans que la qualité de leur jeu ne s’en ressente”, a jugé le technicien allemand.Plus confiant, Miroslav Klose a assuré que tout le monde “sait ce qu’il a à faire, que ce soient les attaquants, les milieux ou les joueurs de couloir. On verra bien comment ils jouent, mais je ne crois pas qu’ils puissent nous surprendre là-dessus”, a-t-il assuré.
Par ailleurs, “Jogi” Löw n’a pas souhaité se focaliser sur l’adversaire. “Nous voulons essayer d’imposer notre rythme aux Italiens (...) L’important c’est que nous prenions l’initiative, et que nous fassions reculer les Italiens avec notre jeu”, a-t-il expliqué. ;Il ne s’attend en tout cas pas à disposer d’un avantage physique malgré deux jours de repos supplémentaires et la prolongation disputée par les Azzurri. “Ils ont joué 120 minutes, mais ils ont quatre jours entiers (de repos), c’est suffisant pour récupérer”, a-t-il ajouté.
Dans l’autre demi-finale qui devait opposer mercredi l’Espagne au Portugal, Joachim Löw a jugé que la Roja était “légèrement favorite”. Si ce léger avantage se vérifiait sur le terrain et que l’Allemagne se qualifiait, l’Europe du football aurait alors le droit à une réédition de la finale de l’Euro-2008 remportée par Torres et ses co-équipiers (1-0).
Nasri s’explique
Samir Nasri s’est exprimé pour la première fois depuis son altercation avec un journaliste après l’élimination de l’équipe de France à l’Euro-2012, affirmant mercredi sur son compte Twitter qu’il “aime l’équipe de France” et qu’il “regrette” que ses paroles aient pu “choquer”.
“Trop de contre-vérités circulent en ce moment. Que les supporters et tout particulièrement les enfants sachent que je regrette sincèrement que mes paroles aient (sic, ndlr) pu les choquer. J’aime l’EDF, le football et j’ai un profond respect pour le public”, écrit le milieu de terrain des Bleus et de Manchester City dans deux tweets. “Pour le reste, il s’agit d’une affaire personnelle entre quelques journalistes et moi. Je m’en expliquerai quand le moment sera venu”, ajoute-t-il dans un troisième tweet.