-
Mise à jour de la Botola
-
Mondial-2024 de futsal: Les Lions de l’Atlas poursuivent leur progression
-
Etape de Rabat du Morocco Royal Tour de saut d'obstacles : L’équipe saoudienne remporte la Coupe des nations
-
Salon du cheval d'El Jadida: Un évènement incontournable dédié à la promotion de la filière équine et la valorisation du patrimoine immatériel
-
Mondial-2024 de futsal. Hicham Dguig: Nous avons confirmé notre rang mondial
L’échec des trois grands favoris, Brésil, Allemagne et Espagne, ainsi qu’en filigrane, celui du jeu de possession. L’élimination prématurée de sérieux outsiders : Argentine et Portugal. Le zéro pointé des équipes africaines. Le destin contrarié des trois meilleurs joueurs au monde, Messi, Ronaldo et Neymar. La faillite de grands attaquants, Agüero, Salah et Mané et le retour en force des manieurs de ballon, Modric, Rakitic ou De Bruyne. Ce sont autant de façons d’évoquer cette Coupe du monde. Pourtant, on n’a rien vu de neuf coté jeu ou organisation tactique. La compétition a été d’un niveau technique moyen. En revanche, elle a mis en valeur les équipes qui dégageaient d’abord une vraie force collective, au même titre que l’assistance vidéo (VAR) «Grâce au VAR, les arbitres ont pris la juste décision dans 99,3 % des cas en phase de poules», a dit Pierluigi Collina, le président de la commission des arbitres de la FIFA.