Autres articles
-
Tournoi olympique de football: L’Irak, ultime étape avant les quarts de finale
-
Elimination d’entrée des sportifs marocains aux Olympiades de Paris Seul Ramzi Boukhiam sauve la face
-
Lutte: Oussama Assad aspire à représenter dignement les couleurs nationales à Paris
-
Mohamed Abicha: La participation aux JO, une opportunité pour se mesurer aux meilleurs
-
Présentation à Rabat du programme national antidopage
La Fédération espagnole de football (RFEF) a annoncé mardi avoir ouvert une enquête disciplinaire visant l'entraîneur du Real Madrid Jose Mourinho et l'entraîneur-adjoint du FC Barcelone Tito Vilanova, après leur accrochage lors de la Supercoupe d'Espagne.
Le juge unique de la Commission des compétitions, l'organe disciplinaire de la RFEF, a décidé d'engager une procédure à l'encontre de Mourinho, qui pourrait avoir enfreint les articles 98 et 100 du code disciplinaire de la RFEF, a expliqué l'organisme.
Mourinho, qui a notamment mis le doigt dans l'œil de Vilanova, risque une peine de quatre à douze matches de suspension pour l'article 98 et de 4 à 10 matches pour l'article 100, qui concernent respectivement une "agression sans lésion" et les "atteintes graves à l'esprit sportif".
Pour sa part, Vilanova risque quatre matches de suspension s'il est reconnu coupable d'avoir eu un comportement "contraire à l'esprit sportif".
Les deux techniciens, qui se sont accrochés lors du match retour perdu par le Real au Camp Nou (3-2) le 17 août, auront l'opportunité de s'expliquer devant la Commission des compétitions.
Du côté des joueurs, l'attaquant de Barcelone David Villa et les Madrilènes Mesut Ozil et Marcelo ont écopé d'un match de suspension pour leur rôle dans les échauffourées qui ont suivi le coup de sifflet final.
Les Barcelonais Javier Mascherano et Xavi ainsi que les Merengue Cristiano Ronaldo, Pepe, Sergio Ramos et Fabio Coentrao ont reçu un avertissement pour s'être joint à la bagarre.
Le Real Madrid a exprimé mardi dans un communiqué sa "surprise", car l'ouverture de l'enquête arrive "quelques heures après que le président du FC Barcelone (Sandy Rosell) l'a demandé publiquement à la RFEF".
"Le Real Madrid souhaite que l'enquête se poursuive et soit l'occasion d'éclaircir absolument tous les faits, a poursuivi le club madrilène. Parmi eux, les provocations, vexations, insultes et agressions qu'ont dû supporter nos joueurs, notre encadrement technique et des membres du banc de notre équipe, sur le terrain et dans le tunnel des vestiaires".
Le juge unique de la Commission des compétitions, l'organe disciplinaire de la RFEF, a décidé d'engager une procédure à l'encontre de Mourinho, qui pourrait avoir enfreint les articles 98 et 100 du code disciplinaire de la RFEF, a expliqué l'organisme.
Mourinho, qui a notamment mis le doigt dans l'œil de Vilanova, risque une peine de quatre à douze matches de suspension pour l'article 98 et de 4 à 10 matches pour l'article 100, qui concernent respectivement une "agression sans lésion" et les "atteintes graves à l'esprit sportif".
Pour sa part, Vilanova risque quatre matches de suspension s'il est reconnu coupable d'avoir eu un comportement "contraire à l'esprit sportif".
Les deux techniciens, qui se sont accrochés lors du match retour perdu par le Real au Camp Nou (3-2) le 17 août, auront l'opportunité de s'expliquer devant la Commission des compétitions.
Du côté des joueurs, l'attaquant de Barcelone David Villa et les Madrilènes Mesut Ozil et Marcelo ont écopé d'un match de suspension pour leur rôle dans les échauffourées qui ont suivi le coup de sifflet final.
Les Barcelonais Javier Mascherano et Xavi ainsi que les Merengue Cristiano Ronaldo, Pepe, Sergio Ramos et Fabio Coentrao ont reçu un avertissement pour s'être joint à la bagarre.
Le Real Madrid a exprimé mardi dans un communiqué sa "surprise", car l'ouverture de l'enquête arrive "quelques heures après que le président du FC Barcelone (Sandy Rosell) l'a demandé publiquement à la RFEF".
"Le Real Madrid souhaite que l'enquête se poursuive et soit l'occasion d'éclaircir absolument tous les faits, a poursuivi le club madrilène. Parmi eux, les provocations, vexations, insultes et agressions qu'ont dû supporter nos joueurs, notre encadrement technique et des membres du banc de notre équipe, sur le terrain et dans le tunnel des vestiaires".
Tournoi olympique de football: L’Irak, ultime étape avant les quarts de finale
