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Devant cet état de faits, comment construire alors une culture sportive, à même d'aider à s'épanouir une jeunesse qui semble perdue entre les gradins désertés par le public? Comment concilier à travers elle, liberté, justice sociale et autres valeurs de notre culture, quand on reste un observateur silencieux et surtout sans réaction devant tant de désordres? Dame Fédé, devant cette cata qui maintenant se déroule hors des terrains de football, a été incapable de donner à l'opinion publique, des informations susceptibles d’éclairer sur sa compréhension. Des dossiers restent toujours en instance faute de pouvoir y statuer. Commission sans président malade et bureau fédéral incapable de se réunir sont d'une banalité désormais.
A la mi-février dernier, il a été donné à Libé, de solliciter deux entretiens à travers la cellule de communication qui avait devoir de la transmettre, selon elle, à qui de droit. En effet, notre journal tout en ayant foi en l'esprit démocratique et au vu des différentes interviews accordées par messieurs Ali Fassi Fihri et Eric Gerets à certains organes de la presse, avait demandé à recueillir quelques-unes de leurs réactions quant à la situation du football national. Au jour d'aujourd'hui comme dirait l'autre, soit un mois et demi après, aucune réponse de reçue, ni par l'un ni par l'autre, et encore moins par la cellule de communication. Cette dernière en toute irresponsabilité à l'image de la maison du foot d'ailleurs, semble ignorer le b.a.-ba du Code de la presse. Son Article 1 stipule, que nous sommes en droit d'accéder aux sources d'information… conformément à notre vocation de médias. On peut aussi rajouter à ce beau monde qui semble si bien snober ces derniers, l'Article 27 de la Constitution qui donne le droit d'accéder à tous citoyennes et citoyens à l'information que détient l'Administration publique et la FRMF en est une. La communication a ses règles; s'y dérober c'est la tuer. L'absence d'un code entre l’émetteur et le récepteur est la source de son échec. Chacun supposant que l'autre comprend. Un dialogue de sourds en quelque sorte.
Autant avoir à faire selon Delerm à un dentiste. « S'y livrer abandonné mais réticent »