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Selon un communiqué de l’AIEA, la Corée du Nord a ordonné aux inspecteurs de l’agence onusienne d’enlever les scellés et caméras sur le site de Yongbyon et de quitter le pays aussi vite que possible. La Corée du Nord avait auparavant annoncé mardi qu’elle relancerait son programme nucléaire militaire et boycotterait les négociations sur le démantèlement de ses installations, à la suite de la déclaration non contraignante du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant lundi le récent tir de fusée nord-coréen et renforçant les sanctions contre Pyongyang.
Le régime communiste nord-coréen a dénoncé la déclaration “injuste” et “en violation de la loi internationale” adoptée lundi soir par les 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies, dont la Chine qui possède pourtant un droit de veto et est le principal allié de Pyongyang.
La Corée du Nord assure avoir mis en orbite un satellite de communication le 5 avril, dans le cadre de son programme spatial civil. Les Etats-Unis affirment que rien n’a été mis en orbite et qu’il s’agissait en réalité d’un test clandestin de tir de missile balistique intercontinental pouvant atteindre notamment le territoire américain.
En vertu d’une résolution adoptée par le Conseil de sécurité de l’ONU en 2006, quelques jours après un essai nucléaire souterrain en Corée du Nord (9 octobre 2006), Pyongyang est interdit de toute activité potentiellement liée aux missiles balistiques.