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La riche expérience acquise par le Maroc dans le domaine législatif et en matière de contrôle parlementaire, les réformes constitutionnelles et politiques audacieuses entreprises par le Royaume, devenu un modèle à suivre notamment dans le monde arabe, sont, entre autres, les raisons ayant incité le Maroc à présenter la candidature de M. Radi à ce poste international, a indiqué un communiqué de la Chambre des représentants.
La candidature de M. Radi a pour raison également «la grande expérience» de ce responsable dans le domaine parlementaire à l’échelle nationale, arabe et méditerranéen, ajoute le communiqué qui rappelle que M. Radi occupe des postes clés à l’Assemblée parlementaire méditerranéenne et à l’Assemblée parlementaire de l’Union pour la Méditerranée (UPM).
M. Radi avait aussi occupé un poste de responsabilité au sein du bureau exécutif de l’UIP et participé aux travaux de tous les congrès de l’Union depuis 1990 dont celui de 2002 dont il avait assuré la présidence. Dans une allocution au nom de la délégation marocaine devant les délégations parlementaires des pays frères et amis participant au congrès de l’UIP, M. Radi a mis en exergue l’expérience marocaine dans les domaines législatif, constitutionnel et juridique.
Il a, dans ce sens, évoqué le renforcement de l’égalité entre les sexes, un large accès de la femme à la vie politique et parlementaire et sa participation active à la gestion de la chose publique.
M. Radi a également rappelé, dans ce sens, la ratification par le Maroc de toutes les conventions internationales relatives aux droits des femmes dont la plus importante est la convention des Nations unies sur l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes.