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L’exposition sur l'album de bandes dessinées "La vilaine Lulu ", publié par Yves Saint Laurent, est organisé lieu à partir du 11 juillet courant, au musée Yves Saint Laurent Marrakech (mYSLm).
S’inscrivant dans le cadre d’une nouvelle collaboration entre le mYSLm et le musée Yves Saint Laurent Paris, cet événement culturel a lieu dans la galerie de photographie du mYSLm sous le co-commissariat de Serena Bucalo-Mussely et Domitille Éblé, respectivement conservatrice-responsable des collections et chargée de collection arts graphiques au musée Yves Saint Laurent Paris, indique un communiqué de cette structure muséale.
"En 1956, le jeune Yves Henri Donat Mathieu-Saint-Laurent, alors âgé de vingt ans, travaille au côté de Christian Dior en tant qu’assistant et dessine des croquis pour les collections. Le soir venu, un des employés de la maison, Jean-Pierre Frère, s’amuse à se déguiser", explique la même source.
"Souvent, après six heures, un collaborateur de Christian Dior se déguisait. Un soir, il avait remonté ses pantalons jusqu’aux genoux. Je me souviens, il portait de longues chaussettes noires. Dans la cabine des mannequins, il avait trouvé un jupon de tulle rouge et un chapeau de gondolier. Tout petit, presque inquiétant, avec son air têtu et rusé, il m’avait impressionné et je lui avais dit : Tu es la vilaine Lulu", écrit la même source.
De cette anecdote naît le personnage de "La vilaine Lulu", qui inspire à Yves Saint Laurent une bande dessinée facétieuse, explique le communiqué.
Le lecteur suit donc les aventures d’une petite fille, "La vilaine Lulu", au cours de vingt-quatre histoires, telles que "Lulu à l’école" ou "L’année Lulu".
Toujours vêtue de la même manière, elle est accompagnée de son animal de compagnie, un rat blanc. Son propre langage ponctue les dialogues, avec ses expressions favorites, "Pluck" et "Schmuck".
Le musée Yves Saint Laurent Paris conserve une grande partie des planches originales réalisées par Yves Saint Laurent.
Un premier article sur "La vilaine Lulu" est publié dans le magazine Vogue (Paris) en août 1964, puis deux versions de la bande dessinée sortent en 1967 à la maison d’édition Tchou, rééditée en 2003 pour finalement être publiée aux éditions de La Martinière en version courte en 2010.
Une version étrangère a été publiée au Japon, aux éditions Kawade Shobo Shinsha en 2009.
L'album "La vilaine Lulu" est en vente à la librairie du musée Yves Saint Laurent Marrakech. Dix exemplaires de La Vilaine Lulu, édition limitée de luxe en coffret grand format, sont également en vente à la librairie du musée Yves Saint Laurent Marrakech.
S’inscrivant dans le cadre d’une nouvelle collaboration entre le mYSLm et le musée Yves Saint Laurent Paris, cet événement culturel a lieu dans la galerie de photographie du mYSLm sous le co-commissariat de Serena Bucalo-Mussely et Domitille Éblé, respectivement conservatrice-responsable des collections et chargée de collection arts graphiques au musée Yves Saint Laurent Paris, indique un communiqué de cette structure muséale.
"En 1956, le jeune Yves Henri Donat Mathieu-Saint-Laurent, alors âgé de vingt ans, travaille au côté de Christian Dior en tant qu’assistant et dessine des croquis pour les collections. Le soir venu, un des employés de la maison, Jean-Pierre Frère, s’amuse à se déguiser", explique la même source.
"Souvent, après six heures, un collaborateur de Christian Dior se déguisait. Un soir, il avait remonté ses pantalons jusqu’aux genoux. Je me souviens, il portait de longues chaussettes noires. Dans la cabine des mannequins, il avait trouvé un jupon de tulle rouge et un chapeau de gondolier. Tout petit, presque inquiétant, avec son air têtu et rusé, il m’avait impressionné et je lui avais dit : Tu es la vilaine Lulu", écrit la même source.
De cette anecdote naît le personnage de "La vilaine Lulu", qui inspire à Yves Saint Laurent une bande dessinée facétieuse, explique le communiqué.
Le lecteur suit donc les aventures d’une petite fille, "La vilaine Lulu", au cours de vingt-quatre histoires, telles que "Lulu à l’école" ou "L’année Lulu".
Toujours vêtue de la même manière, elle est accompagnée de son animal de compagnie, un rat blanc. Son propre langage ponctue les dialogues, avec ses expressions favorites, "Pluck" et "Schmuck".
Le musée Yves Saint Laurent Paris conserve une grande partie des planches originales réalisées par Yves Saint Laurent.
Un premier article sur "La vilaine Lulu" est publié dans le magazine Vogue (Paris) en août 1964, puis deux versions de la bande dessinée sortent en 1967 à la maison d’édition Tchou, rééditée en 2003 pour finalement être publiée aux éditions de La Martinière en version courte en 2010.
Une version étrangère a été publiée au Japon, aux éditions Kawade Shobo Shinsha en 2009.
L'album "La vilaine Lulu" est en vente à la librairie du musée Yves Saint Laurent Marrakech. Dix exemplaires de La Vilaine Lulu, édition limitée de luxe en coffret grand format, sont également en vente à la librairie du musée Yves Saint Laurent Marrakech.
Bouillon
Festival
La 38ème édition du Festival des arts et de la culture de Jerash (Jordanie) aura lieu du 24 juillet au 3 août, a annoncé le Haut comité du festival.
Placée sous le thème "La promesse continue", cette édition connaîtra la participation de 25 troupes de 40 pays, représentant leur folklore et leur patrimoine, et sera caractérisée par plusieurs programmes et pièces de théâtre dédiés aux enfants.
Le programme de cette édition comprend des activités culturelles et artistiques (théâtre, poésie et arts plastiques), en collaboration avec des organismes artistiques et culturels locaux, ajoute-t-on.
Par ailleurs, le festival sera marqué par l'organisation du 12ème Congrès intellectuel arabe, en partenariat avec la Société philosophique jordanienne et sous le thème "Renouveau de la pensée de la renaissance", note le communiqué, ajoutant que ce congrès verra la participation d’une élite de penseurs, philosophes et chercheurs arabes spécialisés dans la pensée arabe moderne et contemporaine.
Autre temps fort de cette 38ème édition: l'organisation du festival de monodrame, qui verra une participation jordanienne et arabe, et d’une rencontre dédiée à la flûte.
Les soirées poétiques seront rehaussées par la participation de 31 des plus importants poètes arabes, notamment Adonis, Ahmed Al-Chahaoui, Ali Fawaz, Dakhil Al-Khalifa et Abdallah Aissa. Plusieurs forums auront également lieu, dont le forum d’art plastique et celui de sculpture, outre l’organisation du prix Khalil Qandil de la nouvelle.
Une exposition dédiée aux industries culturelles et créatives sera organisée en marge du festival, considéré comme l’une des plus grandes manifestations culturelles en Jordanie, permettant aux créateurs d’exposer leurs travaux et réalisations culturelles.
La 38ème édition du Festival des arts et de la culture de Jerash (Jordanie) aura lieu du 24 juillet au 3 août, a annoncé le Haut comité du festival.
Placée sous le thème "La promesse continue", cette édition connaîtra la participation de 25 troupes de 40 pays, représentant leur folklore et leur patrimoine, et sera caractérisée par plusieurs programmes et pièces de théâtre dédiés aux enfants.
Le programme de cette édition comprend des activités culturelles et artistiques (théâtre, poésie et arts plastiques), en collaboration avec des organismes artistiques et culturels locaux, ajoute-t-on.
Par ailleurs, le festival sera marqué par l'organisation du 12ème Congrès intellectuel arabe, en partenariat avec la Société philosophique jordanienne et sous le thème "Renouveau de la pensée de la renaissance", note le communiqué, ajoutant que ce congrès verra la participation d’une élite de penseurs, philosophes et chercheurs arabes spécialisés dans la pensée arabe moderne et contemporaine.
Autre temps fort de cette 38ème édition: l'organisation du festival de monodrame, qui verra une participation jordanienne et arabe, et d’une rencontre dédiée à la flûte.
Les soirées poétiques seront rehaussées par la participation de 31 des plus importants poètes arabes, notamment Adonis, Ahmed Al-Chahaoui, Ali Fawaz, Dakhil Al-Khalifa et Abdallah Aissa. Plusieurs forums auront également lieu, dont le forum d’art plastique et celui de sculpture, outre l’organisation du prix Khalil Qandil de la nouvelle.
Une exposition dédiée aux industries culturelles et créatives sera organisée en marge du festival, considéré comme l’une des plus grandes manifestations culturelles en Jordanie, permettant aux créateurs d’exposer leurs travaux et réalisations culturelles.