Les faits sont là avec tous ces candidats qui persistent encore et encore dans leur folie corruptrice et dépravante. C’est dire combien il urge de barrer le chemin à cette catégorie d’individus.
Les échéances de 2011, comme toutes celles qui vont suivre, ne doivent en aucun cas ressembler à toutes les précédentes. L’année 2011, comme l’a si bien rappelé le Premier secrétaire adjoint de l’USFP, lors du forum de notre confrère « Le Matin », est « une année essentiellement politique ». Le Maroc n’est pas resté en dehors de ces changements et mutations qui ont concerné le monde arabe. Bien au contraire. Malgré les embûches et les entraves qui ont affecté le processus démocratique, le Maroc avait de bonnes longueurs d’avance par rapport à bien de pays arabes.
« L’Etat marocain a commencé à bouger dans le sens de réformes de fond depuis l’avènement de l’alternance consensuelle en 1998 », et ce sont ces acquis qu’il s’agit aujourd’hui de préserver et de consolider pour que le processus démocratique suive son cours. Le train des réformes a fini par reprendre sa marche. Contribuons donc à l’évolution sereine et saine de notre pays avec l’USFP, un parti issu, à la différence de bien d’autres, du peuple et pour le peuple. Un parti qui se prévaut, en toute légitimité, d’être issu, comme le rappelle Fathallah Oulaalou, du Mouvement national et de la résistance, tout en étant un parti démocratique et moderniste.