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Organisé par l'Organisation internationale pour la réforme pénale et l'Observatoire marocain des prisons (OMP), en partenariat avec l'Ambassade de Grande-Bretagne à Rabat, cet atelier entre dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle Constitution et la réforme du système de justice qui ont abouti aux recommandations adoptées dans la Charte de la réforme du système de la justice et le projet du Code pénal, rapporte la MAP.
Intervenant à cette occasion, le représentant de la Direction régionale de l'administration pénitentiaire et de la réintégration à Casablanca a mis en avant que les peines alternatives mèneront à la réduction de la surpopulation dans les établissements pénitentiaires, l'humanisation des peines et la préservation des liens familiaux.
Les sanctions alternatives sont devenues une nécessité qui est enracinée dans la culture religieuse et nationale en concordance avec les conditions sociales et économiques du pays notamment pour les catégories vulnérables telles que les jeunes, les femmes enceintes et les personnes âgées.
Pour sa part, Mustapha Naoui du Conseil national des droits de l'Homme a insisté sur l'importance particulière de ce sujet dans la perspective des choix stratégiques de la démocratie et les droits de l'Homme visant à réduire la criminalité et les cas de récidive.
Pour Marc Bill de l'Ambassade de Grande-Bretagne à Rabat, le sujet de cette rencontre entre dans le cadre de la coopération bilatérale avec le Royaume du Maroc afin de développer les mécanismes du respect des droits de l'Homme, soulignant le soutien de son pays pour la série de réformes que connaît le Maroc.