-
La première édition du Festival du cinéma et de l’histoire, du 23 au 27 janvier à Marrakech
-
La tenue régulière de la Commission mixte et les avancées réalisées témoignent d’une relation de confiance entre le Maroc et le Libéria
-
Nasser Bourita : La réunion de la Commission mixte de coopération Maroc-Libéria, une opportunité pour établir un partenariat économique solide
-
Le Maroc et l’Agence de développement de l'UA résolus à renforcer leur coopération énergétique
-
Les Marocains en tête des affiliés étrangers à la sécurité sociale en Espagne
Hammad Mohamed Aïna est allé jusqu’à appeler de ses vœux la sollicitude Royale, souhaitant que Sa Majesté le Roi vienne à son secours pour le sauver, lui et sa famille, et les soutirer de l'oppression, de la captivité, de la privation, de l'emprisonnement et du vol répété de leurs biens.
Le jeune séquestré, bien connu dans les camps, était, jusqu'à récemment, un instrument obéissant soumis au polisario qui lui ordonnait, comme à des centaines d'autres jeunes Sahraouis, de servir son agenda et ses projets à l'intérieur et à l'extérieur des camps de la honte, avant de se retourner contre lui, il y a quelque temps, lorsqu'il a décidé de faire la lumière sans réserve sur la réalité dans lesdits camps.
Il a cherché à maintes reprises et de différentes manières à changer cette situation et à lutter contre la corruption endémique. Il a adressé de sévères critiques à l'encontre de la prétendue direction du polisario, et révélé des dossiers dangereux aux résidents des camps, ce qui l'a exposé, ainsi que les siens, à de nombreuses exactions et pratiques odieuses.
Le jeune homme a su affronter les faux dirigeants et leurs acolytes en dénonçant leurs abus sur les réseaux sociaux.
Ainsi, sur instructions des services algériens, il a été décidé de lui confisquer tous ses documents personnels et de l'assigner à résidence. Le jeune Sahraoui a lancé un appel à travers ses parents et amis, à l'intérieur et à l'extérieur des camps de la honte, se plaignant de ses conditions humiliantes de détention et de l'injustice et de la marginalisation dont il est victime. Il a franchi un pas, sans précédent, en envoyant un appel de détresse à Sa Majesté le Roi Mohammed VI depuis les camps de Tindouf. Pour leur part, les séquestrés des camps de Tindouf n’attendent que l'occasion pour révéler au monde entier les souffrances, la misère et l'injustice auxquelles ils sont soumis, ce que craignent la bande dirigeante du polisario et le régime algérien.
Ahmadou El Kattab